15 septembre 2008

Houla, ça pique !

700 - Le fantasme des orties... Une idée urticante.

Pas mon truc, mais très connoté SM et plutôt craint des demoiselles à qui on le propose.

"Y'en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes !"
, dirait Laspalès.

Déjà, faut des gants.

La fameuse collection des "orties blanches" y puise son nom, evoquant ainsi de troubles brûlures et cloques d'après-fessées pour ceux qui pratiquent les châtiments corporels de cette façon très "campagne"...

Des dizaines de livres comme ce "Baby douce fille" ci-contre, tous remplis de corrections brûlantes et écrits avec volupté par des érotomanes avertis des années 30...

Allons, l'idée même d'essayer ne me vient pas à l'esprit, pas plus qu'à Elle...

Mais si vous voulez vraiment savoir ce que ça fait au final sur un postérieur, la petite Sarahh s'y est courageusement collée pour un test in-situ exécuté de main de maître par son Bienveillant mari...

Photos © Sarahh

20 commentaires:

Anonyme a dit…

ORTIES: ça doit être TERRIBLE!
J'avais lu cette suggestion: plutôt que de flageller avec les orties, on frictionne, et après on passe à la fessée,plutôt avec instrument, arrivé à ce stade, sur un postérieur déjà plus qu'irrité.
Bien sûr celui qui manipule ces délicats végétaux se munit de gants...celle qui subit étant démunie de tout vêtement protecteur.
On n'arriverait pas dans le SADO-MASO plutôt HARD? Bon, si certains et certaines aiment, nous n'allons pas les en dégoûter.
Côté botanique,il pousse dans nos campagnes des plantes dites "orties blanches", de par la couleur de leurs petites fleurs, mais qui ne piquent pas du tout.
Le titre de cette collection m'intrigue,donc.
On peut arracher une ortie piquante sans gants: saisir la tige par le bas et remonter la main qui passe ainsi dans le sens des poils urticants...oui, les poils, la tige de l'ortie est munie de poils qu'il suffit de prendre dans le bon sens!
Bonne promenade, mais c'est plutôt la saison des champignons. PJJ

Anonyme a dit…

J'ai lu plusieurs fois des 'expériences' avec des orties. Ce qui me navre c'est l'aspect de la peau après le fessage; toutes ces cloques!!
Cela détruit totalement toute envie d'essayer. Je crois que je préfère encore une zébrure à cette 'chose' diffuse; mais c'est un choix.

Anonyme a dit…

Quand on jardine et désherbe, il arrive que la main rencontre une petite ortie qui est venue se glisser parmi les autres plantes à supprimer...ça fait bien mal! En fessée, , on n'ose pas imaginer...

Anonyme a dit…

@le pt'it Jean-Jacques

C'est effectivement la saison des champignions... Et je ne sais pas si il y une saison pour les orties mais j'ai pu découvrir moi même il y a peu, que la campagne en est remplit ces derniers temps. ;)

Donc pour ceux qui cherchent des orties, ça ne devrait pas être trop dure...

Anonyme a dit…

Les CLOQUES
Un effet secondaire gênant de la fessée aux orties ? Si c’est cela qui vous arête, Mesdames, les cloques, et non pas la douleur que l’on suppose très vive, il doit bien exister un remède.
Les anciens, dans les campagnes, en employaient de toutes sortes et contre tout.
Ces procédés, dont ceux recommandés pour piqûre par orties, ont certainement été recensés et placés sur Internet. PJJ

Anonyme a dit…

> J.Jacques: Je ne suis pas pour essayer les expériences 'ultimes' que ce soit cloques ou douleur.
Je laisse le 'Développement Durable' appliqué à la fessée à d'autres :-)

Anonyme a dit…

SAISON des ORTIES:
en hiver, certainement pas.
Je pense qu'elles poussent surtout au printemps,elles sont alors petites mais redoutables;l'agent urticant est très concentré dans ces jeunes pousses et défend d'autant mieux la jeune plante; expérience de jardinier...je suppose que pour la fessée, elles sont difficilement utilisables, ces jeunes orties de printemps, trop courtes pour pouvoir flageller.
On peut peut-être les employer en friction, comme apéritif à la fessée qui sera d'autant plus douloureuse sur un postérieur ainsi préparé.
Ou frictionner enfin de fessée.
On peut aussi , avant que la punie ne se rhabille , en glisser une poignée dans sa culotte...les orties finissent pas ne plus piquer une fois desséchées, mais la douleur sera vive et prolongée...Ce procédé m'avait été relaté par des gens de la campagne comme faisant partie des punitions corporelles infligées aux enfants.
Quelle HORREUR!
Mais si des adultes consentants sont prêts à tenter l 'expérience ,cela les regarde, et la victime pourra enlever les orties si c'est trop pénible...à essayer? Avec un code pour cesser éventuellement la séance.
Les orties de cette fin d'été sont effectivement à leur taille maximum et peuvent être utilisées en flagellation.Elles piquent un peu moins, mais pour ma part , je ne m'y frotterais pas!
Je préfère les champignons.PJJ

Anonyme a dit…

Tu as certainement raison, NUSH.
Laissons les orties là où elles sont, et elles contribuent à l 'équilibre écologique.
Ceux qui y ont recours pour la fessée pourront nous expliquer si ils sont à la recherche de sensations encore et toujours plus fortes; les formes plus raisonnables les auraient lassés? La fessée plus classique finirait par les laisser indifférents? Ou c'est vraiment un fantasme que cette fessée aux orties? Ni vous ni moi ne pourrons répondre.CORDIALEMENT.PJJ

Anonyme a dit…

> J. Jacques: Pour en avoir discuté avec quelqu'un qui a déjà pratiqué c'est surtout parce que il y a le besoin d'expérimenter de nouveaux 'outils', de nouvelles sensations. On se lasse souvent de ce qu'on a, de ce qu'on maitrîse déjà....

Anonyme a dit…

C'est donc cela , chère NUSH: lassitude et de recherche de nouvelles sensations, encore plus fortes, chez certains et certaines fessophiles; on passe alors par exemple à la fessée aux orties.Ce témoignage répond donc à la question que je me posais.
CORDIALEMENT PJJ

Alex 68 a dit…

La semaine dernière, je me suis livré à une expérience….décevante !
Depuis le temps que je consulte des sites de fessées, j’ai découvert la fessée aux orties. Je me suis rendu compte que malgré mes 55 ans, je n’avais jamais été puni avec des orties. Pourtant j’habite à la campagne, mais mes parents n’ont jamais utilisé ce moyen, pourtant à portée de main.
Alors j’ai pensé que pour savoir ce qu’on ressent, il fallait essayer. Jeudi dernier, j’étais seul chez moi, l’occasion était trop bonne. Je suis allé derrière la grange, où je savais trouver quelque belle touffes. Avec un mouchoir comme protection, j’ai cassé 5 ou 6 tiges d’environ 25 à 30 cm. J’ai baissé le pantalon et le caleçon, et j’ai commencé à me frotter les fesses avec les orties. Bien sûr ça piquait, mais j’ai trouvé très supportable. Donc je me suis enhardi et je me suis fouetté, avec de plus en plus d’élan ; ça piquait un peu plus, mais pas assez à mon goût. J’ai donc fait de même avec mes parties sexuelles. Ma queue et mes couilles ont eu droit à une belle flagellation, de même que mes cuisses. Mais c’était toujours très supportable, alors j’ai frictionné le tout, y compris la raie culière, et je me suis reculotté. Finalement, pas de quoi fouetter un chat. Je n’ai pas ressenti ce que j’attendais.
Est-ce toujours ainsi ? ou le choix des orties n’était pas bon ?
Ou alors ma vieille peau est plus dure que je ne pensais.
J’ai envie de tenter une nouvelle expérience. Conseillez-moi.

Stan/E. a dit…

ça va pas être facile, vous faites à mon âge des choses que j'ai fait à 20 ans, l'âge des troubles et des doutes sur ce qu'on est. Ou pas.

Me raser le pubis, me fesser avec des branches ou encore me pénétrer avec des trucs. Depuis ça m'a passé, le temps des expériences aussi. Mais je gage que d'aucun vous en parleront.

Pour les orties, j'avoue que je ne suis pas follement attiré, ni par le vivre ni par le faire subir à une demoiselle récalcitrante. Mais au final, va savoir, si une fois dans la campagne au calme et la déculottée finie, ce n'est pas elle (terme générique) qui me le demandera. Si mon temps expérimental est passé, le leur peut-être pas, hein...

Stan/E. a dit…

Je savais bien que j'avais déjà abordé le sujet !

Unknown a dit…

première fois donc orties longues et non piquantes : cheyenne 1 orties 0
deuxième fois, orties jeunes et plus petites : orties 1, cheyenne 0
les cloques ne restent pas et le massage qui a suivi pour faire pardonner ce test s'est montré efficace.
Il n'y a pas eu de troisième fois, retour à la version manuelle il n'y a rien de tel

Stan/E. a dit…

J'ai le sentiment que ce n'est qu'un adjuvant, très prisé dans la littérature érotique mais pour autant, pas spécialement attirant en ce qui me concerne.

L'idée m’amuse, la concrétisation me laisse de marbre. Bref, ça ne me fait pas band... euh, ça m'indiffère !

Sophie a dit…

Il y a 5 variétés d'orties en France (source Wikipédia) et toutes n'ont pas le même pouvoir urticant. D'après mon expérience, l'ortie brûlante, la bien nommée (moins de 50 cm) doit être la pire, sans compter que toutes les peaux ne semblent pas réagir pareillement;

J'ai souvenir d'une fouettée aux orties qui m'a laissé des souvenirs cuisants pendant 2 à 3 jours !

Donc un adjuvant peut être, mais aucune fessée manuelle ne m'a laissé de souvenir (physique) aussi durable ... sans compter le besoin incontrôlable de me masser le postérieur ou de me le faire tanner pour calmer les démangeaisons.

Bref ... moi je gage que les orties vous ferait band ... à moins d'avoir le rhume des foins ;)

Zuip a dit…

Le plaisir des orties est bien sûr physique pour celle qui les reçoit... cet échauffement du postérieur !...
Le plaisir est intellectuel pour celui qui les inflige... lui faire subir ça... et la voir se trémousser pendant plusieurs heures... hi hi...
Mais il est aussi physique et hautement symbolique quand on cueille les orties à mains nues...
Il n'y a pas de raison....
Maîtriser son appréhension... les éventuelles brûlures de la main... autant de bonnes raisons supplémentaires (s'il en était besoin) de la corriger avec les orties ensuite...

Stan/E. a dit…

Je comprends très bien que tu parles de les prendre à la main, ce stoïcisme masculin me va bien !

Stan/E. a dit…

Un jour, peut-être alors ?

J-P67 a dit…

Je suis un H et des "têtes" d'orties (petites feuilles du sommet) juste appliquées avec délicatesse sur mes tétons me procurent un plaisir infini .... du picotement jusqu'à la brûlure en passant par "l'électrisation" fulgurante! Toutefois, c'est fugace si ça n'est pas entretenu en réitérant les applications pas légers tapotements ... Si c'est le cas, mes tétons doublent de volume et deviennent hypersensibles (y compris au simple frottement d'un T-shirt).
Si je pratique pendant 1 à 2H, mes tétons deviennent durs et presque "cartonnés" (phénomène dû à la brûlure par l'acide formique).
Si on me caresse et, a fortiori, si on me pince les seins, ça peut me rendre fou !!
Il faut noter que le côté "cartonné" de la peau des tétons peut persister plusieurs ... jours !!
Ça me fait jouir d'une façon très différente de toutes les autres ...

Pour le sexe, c'est plus délicat : j'ai le frein extrêmement sensible et le bout du gland aussi : la brûlure devient (trop) vite intolérable.
Alors, je me contente des tétons et je peux arriver à jouir sans me toucher le sexe (le sperme coule tout seul et lentement).

A déconseiller toutefois aux gens développant des allergies /!\