14 janvier 2010

Cent watts dans les mirettes...

1427 - "L'attente..."

C'est parfois terrible de tomber sur des images très chouettes dont on aimerait avoir la provenance et de ne pouvoir en créditer l'Auteur. C'est le cas avec cette photo, non référencée que j'ai trouvée sur le net.

En attendant même si elle peut sembler un peu connotée BDSM, je l'aime bien. Suffisamment pour vous la proposer au regard, à la réflexion qu'elle peut inspirer... Au trouble aussi, qu'on soit celle qui attend le cœur battant, à genoux devant la porte sous le feu de la lumière ou celui qui se tient derrière. Dans l'ombre. Cravache à la main... Ou juste la main ?

"Je serai ta lumière !" Un peu grandiloquent, sans doute... Moi, ça me ferait rire, (elle aussi sans doute) tout comme de jouer avec les mots que je trouve un peu ridiculement utilisés à tout bout de champ que sont "maître" et "soumise"...

Pour autant, je fesse très fort quand il convient. Et sans cinéma.

7 commentaires:

Amoureuse a dit…

J'aime bien aussi la photo, la posture de la demoiselle, l'ombre et la lumière sur sa peau.

Il faut être forte pour accepter cette "soumission" dans ce geste.

Et confiante aussi.

Erik A. a dit…

Céline le confirmera ou pas, mais c'est une photo qu'aurait pu faire Mlle P...Non ?

So a dit…

Très belle photo.
Beau thème aussi que celui de l'attente.
J'aime la longue attente de plusieurs heures, tout en continuant à vivre la vraie vie, du moment annoncé par un mail de consignes.
J'aime aussi l'attente de quelques instants, à la merci de son bon vouloir... Un tension très forte qui sera libérée par son passage à l'acte.
Et pour celui qui la fait attendre, quel est le ressenti ?

Erik A. a dit…

Jamais fait un truc pareil. Je suppose que c'est intense.

So a dit…

J'ai bien compris que les consignes, ce n'était pas votre tasse de thé (pas de desiderata quant à la tenue, pas de poème à réciter...).
Mais, votre "file m'attendre dans la chambre", c'était pas du vécu ?

Erik A. a dit…

Qui n'a rien à voir avec une fille à poil à genoux derrière la porte, hein... Même si elle est comme ça au figuré le temps que je remonte pour la retrouver...

So a dit…

Et toujours les questions que me posent votre blog...
Ce que LUI ressent lorsque je l'attends (pas forcément à genoux, hein ! Surtout que, côté genoux, je suis un peu chochotte à ce qu'il parait)
A la façon dont il l'exprime, je n'ai pas l'impression que ce soit plus intense que la simple fessée que vous évoquez si bien. En ce qui me concerne par contre, la tension est extrême. Mais il semble que je comprenne mal ce qu'il m'a écrit car il vient de me dire "Ah, tu trouves que ce n'est pas intense ?!"
Ses mots :
"Contrairement à toi je ne suis ni angoissé , ni inquiet mais je trouve l'expression de tes émois délicieuse.
De l'excitation de te savoir nue / ou en tenue sexy,
de l'excitation de te savoir toi-même excitée,
un sentiment de puissance de te tenir à ma merci,
un sentiment de responsabilité d'être à la hauteur de la situation, c'est un peu comme l'acteur qui entre en scene sous les yeux de son public (la même appréhension et puis ensuite on oublie tout), comme le gladiateur ou le toreador dans l'arène,
mais ça peut être simplement, je vais bien profiter de cette belle salope !"