27 juillet 2010

Dure au mal...

1813 - Une fille, c'est intransigeant et jusqu'au-boutiste. Enfin, la plupart du temps.

Ce jour-là, elle avait décidé d'aller le plus loin possible. Au-delà de la douleur et surtout d'elle-même. Lui, il n'était pas contre. Un peu hésitant au début, peut-être. Mais l'idée de l'aider à dépasser les limites autorisées était intéressante. Alors pour une fois, il n'allait pas s'écouter, ni arrêter trop tôt, stopper juste au moment où ça devient plus difficile.

Une sorte d'épreuve, de test d'aptitude...

Comme si le fait d'avoir des marques de lui sur les fesses lui prouvait qu'elle était digne d'intérêt pour quelqu'un.

"Fais-moi mal. S'il te plaît..."

Et puis au moment où il la courbe sous son bras pour la déculotter:

"Ah... Et même si je hurle en te suppliant de stopper, n'arrête pas ! Ou je te pète la gueule..."

Il lui a fallu huit jours avant que les marques ne disparaissent...

"On recommence ? Je suis pas calmée... Toi non plus d'ailleurs !"

4 commentaires:

Manioc a dit…

"Comme si le fait d'avoir des marques de lui sur les fesses lui prouvait qu'elle était digne d'intérêt pour quelqu'un."
Comme c'est vrai...Et ce sentiment dure autant que les marques.

Stan/E. a dit…

Si c'est le cas, pas plus de huit jours, alors ? J'espère pour elle que le sentiment durera plus longtemps, du coup... Parce que les marques s'estompent quand même bien vite.

Reste le souvenir, l'émotion.

Manioc a dit…

C'est axactement pour ça qu'il faut recommencer.

Stan/E. a dit…

Axactement ! J'y pense, même si pour le moment ce n'est pas d'actualité.