25 septembre 2010

Fraise à claques...

1917 - "Les fesses à claques"...

Autant vous le dire de suite, vous ne m'y verrez pas trop traîner, le blog me suffit amplement. Mais je tiens quand même à saluer la naissance des "Fesses à claques", un nouveau forum français de petites annonces et de discussions autour de notre sujet phare, la fessée ! Avec une bannière conçue dans le même esprit graphique que pour DD...

PS: 28/09/10 Bannière déjà remplacée par une autre, avec une typo à chier, sur un dessin de Waldo. ça valait bien la peine d'y passer du temps, tiens...

Pour avoir tenté il y a quelques années d'en lancer un ici-même et échoué, en dépit du grand nombre de lecteurs pourtant, je suis mitigé. Excepté la curiosité de quelques-uns qui s'inscrivent pour voir, il faut aussi le faire vivre et donc être très présent pour animer et lancer les sujets. Sinon le soufflé retombe au bout de quelques semaines.

Le souci, c'est qu'on trouve toujours les dix ou quinze mêmes personnes qui errent de l'un à l'autre, donnant l'impression de niche étroite avec peu de renouvellement. Au fond, c'est difficile de s'installer dans une rubrique segmentée comme si on voulait acheter une bagnole ou proposer des trucs à la vente...

Créé par Fraise (des bois) alias Sweety qui gère aussi DD depuis quelques mois, cet espace-forum a pour vocation de recevoir des annonces de personnes voulant se rencontrer dans le but d'activités sexuelles BDSM et fessées. Si le cœur vous en dit...

"Avant toute rencontre il est donc recommandé d'adopter un comportement prudent. Chaque personne qui prend l'initiative de répondre à une annonce doit prendre les précautions d'usage afin de s'assurer de l'intégrité de son correspondant. 

Ainsi, il conviendra par exemple de prendre le soin de discuter un minimum avec la personne convoitée avant toute rencontre. Exiger un numéro de téléphone et le vérifier semblent être des précautions élémentaires. Lors d'un premier rendez-vous, il est prudent de choisir un lieu public et particulièrement fréquenté pour évaluer le personnage. 

Il est également recommandé d'avertir une personne de confiance, ou un "complice" de la date et du lieu de l'entretien, en cas de rendez-vous à huis clos. Ces quelques précautions étant observées, amusez-vous bien..." qu'elle dit. On ne peut qu'acquiescer.

5 commentaires:

fraise a dit…

Merci Stany pour ce petit article ;)

La fille de la bannière a dit…

Moi, j'ai un souci avec la bannière, les fesses présentes ne me sont pas inconnues, et ça me plait pas vraiment de retrouver cette photo là-dessus !

C'est possible de modifier, merci d'avance.

Stan/E. a dit…

Moi elles me sont inconnues, en vrai, mais vous avez raison, même inversées et en filigrane, si ce sont les vôtres, je vais les remplacer par des rondeurs plus anonymes. Il faut dire que j'aimais bien la photo et que du coup...

Anonyme a dit…

Bannière qui ne vaut pas celle de Waldo, mais j'aime assez cette empreinte de main que vous avez d'ailleurs reprise sur votre bannière, sans doute en clin d’œil à celle imprimée en relief sur la couverture originale de l’Éloge de la fessée de Jacques Serguine aux éditions Gallimard en 1973 ?
Il y a dans cette empreinte de main tant de choses...
Il y a le symbole bien sûr, celui de LA traditionnelle fessée manuelle OTK que vous affectionnez et qui constitue sans doute le socle du fantasme.
Il y a la marque, preuve d'appartenance...
Il y a enfin quelque chose qui tient de l'animalité, du primaire. Comme ces peintures rupestres de l'ère de la Guerre du feu, qui n'a jamais si bien porté son nom...

Stan/E. a dit…

Oui, on peut entendre que celle de Waldo a plus de sens, puisque c'est un secret de polichinelle, Fraise est dessinée par le maître, sur sa propre bannière et donc ça donne un sens, affectif et humain à la chose.

Mais les goûts et les couleurs, hein.

Du coup, si la peinture rupestre ne me dit rien, à part l'envie de revoir le film d'Annaud, j'ai retrouvé avec bonheur la couv du Serguine, au point d'avoir envie de raconter ma première vision de l'ouvrage, qui m'émeut jadis, l'année de sa sortie...

1973... Tout ça ne me rajeunit pas.