18 décembre 2010

Libertine mais punie...

2089 - "L'amour à cheval"... Jamais entendu parler de ce film !

Et d'ailleurs, est-ce dû à l'agitation de cette année 1968, dont les événements firent passer à l'As pas mal de choses sorties au mauvais moment de l'actualité ?

Mais toujours est-il que la filmographie de Jean-Louis Trintignant évite pudiquement ce film de Pasquale Festa-Campanile que les Anglais ont traduit "the libertine"...

C'est "la matriarca", en VO...  Mais désolé, l'extrait retrouvé sur le net est en anglais ! Un comble pour deux acteurs hexagonaux. 

Le thème ? Une jeune veuve découvre un appartement secret où son mari la trompait. Elle décide d'explorer à son tour sa sexualité...

Catherine Spaak qui fit une grande partie de sa carrière en Italie y reçoit pourtant une fessée donnée de bon cœur par Jean-Louis, lequel eut souvent l'occasion de jouer dans ses films des personnages éprouvant un certain trouble devant ces choses du sexe "sortant un peu de l'ordinaire"...

Il fut un temps dans les années 70 n°1 au box-office et l'acteur préféré des Français pour ses rôles de monsieur tout le monde, homme parfois anti-héros auquel on pouvait sans doute plus aisément s'identifier.

Se souvenir qu'on l'a vu aussi dans "le mouton enragé" de Michel Deville, incarnant un faible qui devient méchant.

Un type trouble. Qu'en pensait Jane Birkin ?

D'autres images du film ici...

2 commentaires:

Jill a dit…

Ah il va falloir que je recherche ce film. J'adore Trintignant et vous m'avez donné envie de le voir. Bises ...

Stan/E. a dit…

Je ne suis évidemment pas le premier à en causer, j'ai vu d'autres posts qui évoquaient le film, mais qu'importe, l'axe n'est pas le même, les image non pus (très difficile de trouver l'affiche originale en bonne qualité) et on ne va pas se plonger dans les archives des autres en permanence. Il m'arrive de voir des images que je sais être miennes à droite et à gauche, en fait tout se tient...

Si j'ai pu vous en donner l'envie, parfait. Je n'ai découvert l'extrait que hier mais j'avais déjà vu un autre passage avec Trintignant marchant à quatre pattes monté comme un canasson par la demoiselle et faisant le tour de la pièce sous la menace de la cravache de son jockey...