12 avril 2012

La fille toute mouillée...

 2681 - "Sortir de l'eau..."

Il l'installe en travers de ses genoux, toute nue et trempée des pieds à la tête, ses cheveux noirs collés en larges mèches humides au sortir de la grande baignoire dont il l'a extirpée sans crier gare, sans un mot, en l'empoignant fermement par le bras.

Fâché, agacé et sans se soucier une seconde de ses habits s'humidifiant au fur et à mesure que le corps nu se sèche à leur contact, il l'a bloquée par la taille avant de lever sa main gauche et de claquer aussitôt - non sans une évidente volupté - les jolies fesses rondes étalées sous ses yeux.

La fessée dure plusieurs minutes, le bruit des claques très amplifié par le cul mouillé. Ça résonne avec une sonorité plus métallique et bien moins sourde que d'ordinaire. Le bruit incessant du contact entre cette douce chair humide et sa main qui claque et reclaque remplit la chambre, L'un et l'autre se grisent chacun de leur côté de ce son inhabituel follement excitant.

Au fur et à mesure qu'il la corrige, la peau des fesses rougit violemment, accentuant le contraste des teintes entre le bas du dos et le reste du corps. Il fesse si fort qu'elle sèche bien trop vite à son goût. De sonore et crépitant, le bruit s'estompe, redevenant sourd. Alors il la redresse, l'embrasse et la ramène dans la salle de bain. Avant de la replonger dans la baignoire pour la mouiller de nouveau.

Cette fois, la chaleur émanant du derrière corrigé au contact de l'eau la trouble, tandis qu'elle se diffuse dans tout le bas du corps. Elle ferme les yeux d'aise, à l'écoute de ses sensations les plus intimes, jubilant de cette formidable fessée tant attendue...

C'est à cet instant qu'il la ressort, pour une suite encore plus garance...

3 commentaires:

Mademoiselle G a dit…

À la sortie du bain ou de la douche, moment déconcertant et mouillant... Ou la peau rougit lus vite, le trouble est intense, le cœur bats plus vite, la poitrine de soulève plus rapidement quand la respiration s’accélère , les papillons et le chaleur dans le bas du ventre et les reins...Elle mord sa lèvre en tricotant d’embarras et de honte avec ses mains... Frotte penaude et gauche, ses jambes l’une contre l’autre et rougie violemment comme ses fesses un plus tard..

Stan/E. a dit…

J'ai adoré ces instants de trouble, soyez-en sûre... C'était en Alsace. Et une autre fois, dans l'intimité d'un moulin, dans la campagne près de Beaune. Avec ma complice d'alors...

Mademoiselle G a dit…

Oh je n’ai pas le moindre doute la dessus cher Stan!