05 octobre 2012

Trois histoires, trois choix

   2847 - "Images pour l'imagination..."

Chez Mensink, il y en a pour tous les goûts... Hommes, femmes, mode d'emploi ?

Tiens, serais-je parfois cet homme inquiet qu'une femme menace de la pointe de sa cravache ? Aimeriez-vous la tenir d'ailleurs ? Et dire quoi à ce moment-là ?

Êtes-vous la rousse ou la brunette de la seconde image ? Jugez-vous la punition et les marques suffisantes, que vous soyez l'une... Ou l'autre ?

Ou alors, êtes-vous cette statue de la troisième image ? Mateuse sans agir, fantasmant sans oser... ? Pas facile...


Le choix est vôtre... Faites vos jeux...
Dessins © Mensink

17 commentaires:

Céline (la vraie) a dit…

Aucune des trois. Je serais plus la toute première, celle qui se fait peindre ! J'aime assez l'idée...

J'ai déjà poser pour des peintres et des photographes (mais pas dans la même position que la demoiselle, par contre), et l'idée de pouvoir le refaire et montrant un peu plus ma nudité ne me déplait pas.

Concernant les autres photos, il en aurait fallu une où l'homme prenne les choses en main pour que je m'y retrouve.

Mais bon, si l'homme assis dans le fauteuil c'est toi, alors je veux bien essayer la cravache. Qui sait, je suis peut-être douée en tant que "dominatrice" d'un jour :D

Stan/E. a dit…

J'étais certain que "choisir" ce gros bonhomme allait m'attirer des quolibets... Comme quoi, tendez la perche et il y aura toujours une bonne âme pour la saisir.

C'est non. JE tiens la cravache.

Chut ! a dit…

Sans hésiter, la 1re ! Ca vous étonne ?
Dominer une femme n'est pas vraiment un fantasme, même si je l'ai fait dans un cadre particulier : avec son compagnon qui m'avait proposé une domination à quatre mains.
Un excellent souvenir.

Un autre qu'éveille l'image : à Paris, un soir de colère, mue par la soudaine - et stupide - envie de me venger des hommes. A l'époque, je fréquentais des sites de rencontre et ma "proie" fut aisée à trouver. Il était chef d'entreprise, soumis, et voulait être dominé.
Je lui ai fixé RV chez moi, à 23h12 pile (réglage synchronisé de nos montres faisant foi), selon un protocole précis (façon de s'introduire, uh, de monter l'escalier, de frapper à ma porte). Il savait que s'il y dérogeait, je ne lui ouvrirais pas.

De mon côté, j'ai joué mon rôle de Maîtresse sans merci, me suis offusquée de sa tenue trop relax pour une 1re rencontre : jeans, chemise, blouson. D'autant que j'avais troqué mes habits de ville contre une robe en latex et des cuissardes aux talons vertigineux. Tant qu'à jouer, autant sortir le costume...
Il a payé l'oubli du smoking et de la cravate, subi mon interrogatoire et mes sarcasmes. Au coeur du débat : son métier, ses exigences et impolitesses envers ses subordonné(e)s - il n'avait pas l'air d'un patron commode -, l'autorité qu'il exerçait sur les autres et à laquelle il renonçait devant moi.
J'avoue une satisfaction jouissive à le faire ramper en laisse, lui interdire de me toucher alors que je m'adonnais devant lui à un plaisir tout égoïste.

Il souhaitait me revoir, mais dans un cadre plus long : semaine de vacances, WE. J'ai refusé. Pas envie, et la désagréable impression d'être alors envisagée façon "prestataire de services". Le monsieur avait en effet, façon petit chef, défini un cadre très strict aux prochaines fois : ceci mais pas cela, comme ceci mais pas comme cela. On était loin de la fantaisie improvisée ! Et, accessoirement, je n'étais pas une de ses employées...

Stan/E. a dit…

Bien évidemment pas étonné, je sais vous lire et c'est très clair. La conclusion m'amuse, d'ailleurs car je crois que tous les dominants qui se laissent aller à switcher ne peuvent s'empêcher de donner le programme: "ça mais pas ça, ça mais pas ci..."

Et d'ailleurs je crois que si je m'abandonnais, je sais aussi pertinemment ce qu'à priori "je veux et ne veux pas". Donc...

Non, je rectifie: "ce que je suis prêt à accepter dans un esprit et des "habitudes" balisées, en opposition à un univers inconnu"... dans lequel pourtant je pourrais sans doute glisser, avec la bonne personne en face...

Chut ! a dit…

A priori le monsieur n'était pas dominant, mais soumis pur jus... comme quoi on ne se refait pas ! Autoritaire le jour, autoritaire toujours ?
L'annonce de sa profession m'avait amusée, car elle correspond pile au cliché du gars meneur d'hommes-chef incontesté-haut salaire-hautes responsabilités qui a besoin, par retour de manivelle, de relâcher la pression. Façon soupape qui rétablit l'équilibre, en quelque sorte.
Remarquez, les clichés se sont construits sur des fonds de vérité...

Savoir ce qu'a priori l'on veut et refuse, c'est plutôt une bonne chose. Les limites servent aussi de garde-fous, et le but d'une séance est le plaisir partagé.
Sur le fond, rien à y redire.
Sur la forme que le monsieur y a mise, beaucoup à reprocher. Son laïus sonnait "cahier des charges", le parfait tue-désir à ce qui est censé être léger et ludique.
Qu'il ne veuille pas que je domine en public, parce que zut, il a quand même son image à tenir devant les autres convives du Relais et Châteaux, fort bien. Mais qu'il m'égrène par le menu mes obligations, grand 1, petit a, sauter une ligne, tiret et astérisque en fin de contrat, non merci. C'est d'un ennui mortel alors que nous n'avons même pas commencé !
Les fonctions "garantie sur facture" et "SAV" n'ont jamais fait partie de mes attributions bénévoles, j'en ai peur...

Stan/E. a dit…

ça je ne sais pas. Demande à Chéri pour faire un test ? Quand à poser. Est-ce que c'est quelque chose qui te réconforterait en te permettant de prendre de l'assurance ? Je m'amuse souvent de voir la très jolie image "en couple" prise par P, qu'on voit passer sur quantité de sites ricains, au hasard de mes ballades...

Stan/E. a dit…

J'avais discuté de ça, un soir d'errance d'il y a des années avec une domina qui m'avait invité à dîner. Du coup, pour payer le repas (je blague) bref je me suis laissé glisser dans son univers SM après minuit pendant une heure, avant de me retransformer en citrouille insignifiante, mais pour le coup sans imposer aucunement mes vues et mes envies, bref me laissant diriger. Du coup je n'étais pas dedans. Elle si, par contre (sans jeu de mot grivois...)

Expérience intéressante, mais avec un goût mitigé quand même.

Waldo a dit…

Je trouve ces dessins techniquement assez jolis.
Le reste ne me touche guère. Le gros plouc effrayé par cette nénette intégralement nue hormis les bas les chaussures et le collier de chatte, ce n'est vraiment pas ma vision des choses.
Vous imaginez le contraire : le mec à poil effrayant par son regard noir et son martinet une fille sapée en tailleur strict ?... Rien que l'idée fait rire, non ?...

Et puis, quand les dominas sont aussi nues que leurs soumis, il me semble que quelque chose ne va pas. Bien triste que Dame ne soit plus là, elle en aurait parlé mieux que moi.

Naturellement, les dessins de Mensink sont sans doute réalisés dans un but plus excitatoire que réaliste, et les femmes entre elles obtiennent toujours un beau succès.

Bon, ce n'était pas la question, je sais...

Stan/E. a dit…

Je cause de temps à autre de Mensink, depuis les débuts du blog... Sur l'analyse, je partage ton avis. Une Domina nue ? Non, effectivement, Dame se serait sans doute fendue d'un commentaire souriant sur le sujet. Techniquement maîtrisés, effectivement.

VH a dit…

La brune de la deuxième image. Etre debout, je crois que c’est ce qui me trouble le plus.
Pour les marques, je ne sais plus, la cravache je n’aimais pas ça, je m’en suis débarrassée il y a longtemps.

Amandine a dit…

Je ne me retrouve dans aucun de ces dessins ... non, vraiment, même de loin. Aucun autre choix ?

Stan/E. a dit…

Aucun. Mais sur le site de l'auteur, vous trouverez peut-être votre bonheur, qui sait ?

Anonyme a dit…

Je ne suis sur aucun de ces dessins, c'est certain ! Ils manquent de complicité et de proximité à mon goût. Je pourrais être celle qui a le postérieur marqué de la cravache mais dans ce cas, où est mon Maître ? Il ne délègue pas si facilement ce genre de caresses.
S

Stan/E. a dit…

Quand je demande "sur quel dessin" vous êtes, c'est plus une extrapolation, une tendance vers laquelle vous penchez qu'une situation réelle vécue dans la vraie vie et non fantasmée. Alors oui, moi non plus je ne suis dans aucun, mais à choisir, je prendrais le gros type, même si je ne porte jamais de cravate, parce que je peux aimer l'idée d'être dans la posture de celui à qui on tient les couil... euh celui qui obéit, de temps à autre, pour peu que celle qui est en face possède l'aura nécessaire.

Ce qui n'est pas donné à tout le monde.

Sophie a dit…

je n'ai jamais été à la place de la plantureuse brune de la première image,mais c'est certainement celle qui me trouble le plus parmi les 3. J'imagine que je pourrais me prendre au jeu assez facilement, voire très aisément, d'autant plus si j'ai quelques reproches bien réels à faire au monsieur ... une manière de passer l'éponge,en quelque sorte et de retourner à d'autres jeux.

Elle a dit…

Je ne penche vers aucune tendance de ces dessins ceci dit assez jolis.

Ces situations ne me ressemblent aucunement.
Mon imagination n'arrive pas à ce renversement de situation si je puis dire.

Domina, non décidément non. Maitre ? Je ne connais pas et n'en ai pas.
La complicité est la chose essentielle pour moi. Là, je ressens une sorte de froideur...dans un monde de chaleur.

Céline a dit…

Plus besoin de réconfort. L'assusurance, je l'ai aujourd'hui. J'appris à m'aimer et mon reflet dans le miroir ne me fait plus peur. Je m'aime et je me trouve belle !