20 mars 2015

Derrière la porte rouge, le retour !

3173 - "Mais y'a quoi derrière ces p'tains de portes rouges ?"

C'était un article qui avait bien plu.

Alors, j'ai trouvé une autre image du même ordre, idéale pour raconter... une autre histoire !

Une fille, derrière une porte. Celle là est un peu plus... nue ! Du coup, libre à vous de replonger, de me dire ce qui selon vous peut bien se passer derrière cette porte rouge "bis"...

Je disais quoi, déjà ? "(...) Il y a vraiment des images qui racontent des trucs, hein. En tout cas, à moi. Une photo, une ambiance et me voilà rêveur, comme sur cette photo ici qui me parle immédiatement..."

Voilà, même motif, même punition !

À vos claviers !

12 commentaires:

Baxter a dit…

the page did not translate, but the picture is a very sexy picture, nice red bottom. thanks

Baxter

Stan/E. a dit…

@Baxter: Nice picture, indeed, I totally agree. I just ask readers to write a little comment about their feelings, seen such an image...

Unknown a dit…

J'aime beaucoup la première photo. c'est comment dire... Mmmmmm ! C'est frissonnant !

Stan/E. a dit…

Ce qui est marrant, c'est la panoplie d'ustensiles en tout genre qui pourraient bien être détournés, je crois... Je me souviens d'un malad...euh d'un gars sur un forum qui fessait avec un tas de trucs, tuyaux d'arrosage, poêle à frire , lampe de chevet etc... Le gars avait même fait une liste avec des notes d'efficacité !

Sophie a dit…

13 août 2003

Allongée nue dans la pénombre sur le carrelage de la cuisine face au frigo grand ouvert, j'essaye de dormir pour oublier que j'ai chaud.

J'aimerais m'enfermer dans mon vieux Frigidaire pour échapper à la fournaise, mais il n'est même plus capable de me fournir des glaçons ...

Les cris stridents des gosses du voisin qui sautent inlassablement dans leur piscine me vrillent les tympans au delà du supportable. Pourquoi les mouflets se croient ils toujours obligés de hurler leur joie ou leur tristesse ?

Enfin, j'entends leur mère les appeler ... leur demander de monter dans la grosse berline familiale climatisée ... enfin, le silence ... et dehors, vide et abandonnée pour un long weekend, la piscine ...

Sortir de chez moi, aller frapper à leur porte en toute innocence, puis contourner l'angle de la maison pour me retrouver à l'abri des regards est un jeu d'enfant. Je dépose mes fringues dans la remise du jardin, me saisi d'un matelas pneumatique et me glisse dans l'eau tiède qui me lave de mes sueurs poisseuses.

J'en sors quelques heures plus tard, le soleil se couche, il est temps de regagner mon logis, j'ai faim, j'ai soif ! J'ai eu le temps de prendre un coup de soleil sur les fesses, la chaleur irradie lorsque je pose mes mains dessus. Je dois avoir le cul tout rouge ... me voici devant la remise où sont pendus mon short et mon t-shirt ... tiens je croyais avoir laissé la porte entrouverte et la voici fermée ... je pousse le loquet, rien à faire ... perplexe je contemple la porte rouge ... lorsque j'entends une voix railleuse dans mon dos : " elle a besoin d'un coup de main, la p'tite dame ?"

Stan/E. a dit…

Amusante histoire, Sophie. Les voisins et la piscine délaissée, c'est très vécu, tout ça... La suite est attendue, et là , deux options, on laisse continuer une autre lectrice, ou alors... c'est vous ?

Unknown a dit…

Voici ce que m'inspire cette photo :

Présent :

Mais pourquoi diable avais-je repeint cette porte en rouge et pas n’importe quel rouge, un rouge bien vif et entêtant.


Quelques minutes plus tôt :

« Cette porte me donne une idée… Attends-moi je reviens » m’avait –il susurré à l’oreille.
Après quelques minutes il avait lancé de la fenêtre du premier étage un : « Je n’arrive pas à remettre la main sur mon nuancier, u ne l’aurais pas vu ? »
Voilà, c’est à cet instant que j’avais compris ce qui lui avait traversé l’esprit… Comparé les différents rouges et cette fichue porte avait été l’élément déclencheur, tsss.

Un coup d’œil par-dessus mon épaule droite en direction de mes fesses confirma l’idée qui subrepticement s’immisçait en moi, ce n’était pas assez rouge comparé à la couleur de la porte de la remise.

Bien sûr, je pouvais supporter bien davantage et avec plaisir encore, mais là maintenant tout de suite j’avais surtout l’impression que le temps filait à une vitesse folle… et que je ne serais jamais prête à l’arrivée de nos invités dans… ??? Combien de temps s’était écoulé entre le moment où nous prenions notre café près de la piscine et où la tentation était trop grande en le voyant lire distraitement, de l’éclabousser des deux mains en éclatant de rire.

C’était un chat, je savais déjà qu’il n’aimait pas particulièrement la pluie mais a priori être arrosé même l’été ne l’amusait pas non plus… Sa Félinité s’ébroua et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais en travers de ses genoux. Ma robe promptement troussée, ma culotte baissée jusqu’à mi-cuisses.
« Mais… »
« Ça t’amuse de jouer avec l’eau, mais tu sais aussi qu’il y a des conséquences ! »

Oui bien sûr que je le sais mais moi j’adore arroser… c’est comme une seconde nature… On ne se refait pas. Nous savons tous les deux que c’est l’occasion d’une fessée. J’avais envie de le titiller.
« Ce n’est pas ma faute, tu ne m’écoutais que d’une oreille… et ça m’a… »
Je m’interrompis, tous mes sens étaient en alerte, mon instinct de « survie fessique » réclamait le silence. Ma position actuelle ne me permettait pas de lancer une phrase de reproche …
« énervé ! » termina-t-il.
« donné une idée plutôt… parce que je m’ennuyais ! » répondis-je avec une moue de défi qu’il ne put voir.
Nouveau silence. Son bras entoura ma taille. Et la première claque ne tarda pas à atterrir sur la partie charnue de mon anatomie. Suivie par une demi-douzaine d’autres.

Quand il s’arrêta je tournais la tête vers lui. Sept petites claques ?
« Tu comptes mettre cette robe ce soir ? »
« Euh, oui… pourquoi ? »
« Enlève-là ! »
Je lui lançais un regard étonné.
« J’ai une idée. »
Il me redressa et m’aida à retirer ma robe en souriant… Et plouf, sans comprendre ce qui m’arrivait, je sentie la douceur de l’eau entourer mon corps. Le temps que je ressente le bienfait de cette fraîcheur inattendu et bienveillante sur mes fesses et j’étais soulevée hors de l’eau et de nouveau couchée sur ses genoux.
« Ton pantalon va être trempé ! »
« Pas grave ! »
Et la fessée repartie de plus belle. La puissance de chaque claque semblait comme décuplée au contact de mes fesses encore humides.

Unknown a dit…

(Suite)

Après ce qui me sembla interminable, ses doigts caressèrent délicatement ma peau. La fessée était terminée.
« Va te mettre devant la remise. »
« Quoi ? »
« Je veux voir tes fesses de loin ! »
« Qu’est-ce qui t’arrive ? C’est la journée des expériences ? Une fessée à l’eau et au coin ? Tu sais bien ce que je pense du coin… »
« Chérie ceci n’est pas un coin, c’est juste une porte… »
« Je n’aime pas quand tu te la joues Magritte ! »

Retour au présent :

Une voix tout près de moi me sort abruptement de mes réflexions.
« Je l’ai retrouvé. C’est bien ce que je pensais tu devrais vu l’intensité de mes claques avoir les fesses cramoisies comme la porte et elles sont tout juste nacarat. Pourtant à la fin de la fessée elles étaient d’un superbe groseille, elles étaient brûlantes, hmmm…. »
« Je te confirme que c’était intense en effet. Ouch, à l’avenir, je vais me souvenir d’éviter de te titiller à proximité d’une piscine ! »
« J’ai bien aimé moi… Ma main n’est absolument pas fatiguée, c’est vraiment impressionnant ! »
« Tsss ! »
« Ça me donne envie de recommencer tiens, ça te dit ? »
Mon sourire en dit long.
« Décidément je sens que je ne vais pas avoir le temps de préparer grand-chose, et que je vais avoir du mal à m’asseoir… »
Rires.

Stan/E. a dit…

Excellent, Plume ! De la belle ouvrage et une imagination débordante, ce n'est que du bonheur. Allez, mesdames, lancez-vous à votre tour, cette photo est visiblement plus qu'inspirante !

Unknown a dit…

(suite 2) fessée n° 2 et un peu plus...

« Je te confirme qu’après ton deuxième passage sur mes genoux tu n’es pas prête de vouloir t’asseoir. »

« Pff, Je ne vais pas faire des étincelles ce soir avec mon repas à la va-vite. »

« Pour les étincelles je m'en occupe, c'est ton cul qui va en faire dans quelques secondes. »

« Alors là je m'incline. »

Et de fait je me sentie soulevée et basculée sur son épaule droite et maintenue ainsi en équilibre pendant que je tentais de deviner la direction qu’il prenait.

« Attends ! »
« Comment ça attends ? »
Une claque bien ferme s’abattit sur ma fesse gauche…
« Aie. Grrrr. Je voulais juste que ta félinité récupère ma robe en passant ! »

Il ramassa donc nonchalamment ma petite robe fleurie et m’asséna une claque sur la fesse droite.
« What was that for ? »
« Parce que tu te moques de ma félinité… Tout se paye et tu le sais, Ô toi la louve ! »



Il s’assoit sur notre canapé et me déplace prestement de son épaule jusqu’à ses genoux. J’aime ce moment où l’on ajuste nos corps juste avant de ressentir la douloureuse chaleur des claques s’égrainer sur mes fesses. Cette danse ou le plaisir arrive par la transformation de la douleur provoquée par sa main. J’aime l’union de mon bassin et de ses cuisses qui s’entrechoquent au rythme des claques, jusqu’à sentir son désir naître. Au fur et à mesure que la chaleur croît sur ma peau rougie, mon esprit s’abandonne et mon corps devient impudique si tant est que se prendre une fessée cul nu en travers des genoux d’un homme permette encore de conserver un peu de pudeur.


Unknown a dit…

(suite 3)

Il arrive un moment où les fesses se tendent vers la main comme un appel solennel aux claques. A d’autres moments, il devient difficile de ne pas bouger, de ne pas avoir envie d’éviter cette claque que l’on sait puissante après une salve du même acabit…

« Où comptes-tu aller, comme ça ? »
Question qui n’appelle pas de réponse. La phase du jeu se tend en crescendo. Il est difficile de s’empêcher de faire une tentative que l’on sait pourtant inutile, comme de glisser les mains au-dessus des fesses en vaine protection… Cette demande silencieuse, comme une supplique muette de stopper ou tout du moins de ralentir le rythme ou la puissance des claques n’a pas lieu d’être. Ce n’est pas à moins de déterminer quand ça va s’arrêter, même si implicitement mon compagnon de jeu est à l’écoute de mes mouvements de mes sursauts, de mes cris étouffés, de mes grognements…



Et puis il y a « Après », le cessez-le-feu, quand ses mains se font plus douces et que ses doigts parcourent tendrement mes fesses brûlantes et hésitantes, je n’ai alors plus qu’une envie. M’offrir à lui ! Qu’il me prenne, que ses mains empoignent mes fesses écarlates et chaudes.


Je me retrouve à califourchon sur sa verge dure qui m’attire comme un aimant jusqu’au moment où mes fesses atterrissent sur ses cuisses et qu’un frisson parcours tout mon corps.



Tout au long de ma fessée, les vibrations et le plaisir de cette douleur transformée ont humidifié, comme on dit, mon intimité qui s’est ouverte pour mieux accueillir sa queue que mon corps désire et réclame sans pudeur.



Notre face à face me permet de voir son plaisir en plus de le sentir au creux de moi. Voir mon cul se trémousser et rougir sous ses doigts pendant de longues minutes, avec la promesse de pouvoir s’engouffrer en moi, a fait monter son désir.

Sans m’en rendre compte, je me retrouve sur le carrelage, la sensation rafraîchissante pour mes fesses contraste avec le confort du coussin qu’il a déposé sous ma tête et la chaleur qui m’envahie à l’intérieur. Sentir son membre me remplir, combler ma voûte chaude, humide et accueillante.



Nous ne parlons pas, en pleine possession de nos corps et de nos envies, nous profitons des regards, sourires et halètements… que l’instant présent nous procure. Je sens son va-et-vient en moi, à la fois félin et lourd, qui me rappelle alors que mes fesses ont été douloureusement attendries par ses mains juste avant. Tellement envie qu’il accélère le rythme et qu’il soit plus animal, presque brutal quand il s’enfonce d’un seul coup et jusqu'au bout. Pour finir dans le râle et dans le cri de nos deux corps emmêlés.



Cette sensation que la fessée décuple le désir et que l’osmose qui en découle nous permet d’être en phase et d’accéder à la jouissance simultanée. Ce moment volé au temps qui reste là, comme suspendu et qui n’appartient qu’à nous.

FIN.

Stan/E. a dit…

Beau récit, merci Cheyenne, mais que cela n'empêche pas les autres lectrices de nous en donner aussi, sur cette photo pour le moins inspirante, convenons-en !