15 janvier 2009

Le fouet claquera trois fois...

882 - "The whip cut the air all around her with a whine !*"...

Une illustration trouvée sur Kinky Delight... Le site n'est pas passionnant, ne référence pas les images qu'il affiche, je n'en connais donc pas l'auteur dont la signature en bas à gauche est illisible mais je n'ai pas pu résister à l'envie de vous la présenter.

La fille sûrement traitée d'après photo est joliment peinte. Mais ce n'est pas le cas de ce bonhomme en short qui se veut menaçant, un peu de guingois dans une attitude maladroite, vaguement ridicule avec sa tête de vieil acteur américain des années 60... Visiblement dessiné sans modèle, lui, il brandit son fouet à la lanière trop longue comme un chasse-mouche, de façon se voulant virile: pas très convaincant.

Vous seriez impressionnée par un type comme ça, mesdames ?
* "Le fouet siffla dans l'air autour d'elle avec un claquement sec !"

4 commentaires:

Bébé a dit…

pas du tout... restons nature, la main bien claquée sur les fesses chaudes.

Anonyme a dit…

Par l'homme non, il a une tête qui me revient pas. Par contre le fouet, oui il m'impressionne, je dirais même que ça me fait flipper. Mais aucune envie d'essayer, trop long comme objet. Entre mon homme et moi, je préfère le minimum de distance pour un maximum de sensations...

Erik A. a dit…

Je suis bien d'accord. Et ce fouet dont la lanière fait bien dix mètres de long est un instrument bien trop imprécis pour qui n'est pas de ces artistes de cirque qui savent couper une cigarette en deux dans la bouche d'un spectateur... J'aime bien le maximum/minimum évoqué.

Anonyme a dit…

Oui...je trouve cette image parlante...mais effectivement le fouet est trop long...peut être que c'est agréable de dessiner des courbes dans l'espace ? un jour j' avais évoqué sur un autre site l'effet que m'avait fait Indiana Jones lorsqu'avec son fouet il avait enlaçé sa belle pour l'attirer vers lui...j'étais bien jeune...et ça avait éveillé en moi de jolies choses...Mais jamais eu l'envie ou l'idée de me faire fouetter pour autant...et effectivvement besoin de sentir l'autre tout prêt de moi. La distance me fragilise.