06 février 2010

Élégante vanne à la télé, mais le soir, tard...

1482 - Un de ces instants de solitude comme on peut tous en avoir, avec ses parents. Des gens charmants, mais qui - quoi qu'il arrive - vous prendront toujours un peu pour un enfant... Le leur.

Bon, vous ne m'en voudrez pas si je vous avoue ne pas connaître toutes les actrices et starlettes pondues à la chaîne par les studios d'Hollywood, que ce soit pour des séries ou des films récents ?

C'est ainsi que je découvre cette demoiselle interviewée par David Letterman dans son Late Show...

Une certaine Sarah Silverman. Qui semble s'y connaître pourtant pour faire parler d'elle.

Ce qu'elle dit ?

Ma foi, si vous parlez anglais ce sera facile à traduire, en plus, elle mime très bien...

Bon, vous ne maîtrisez pas la langue de Shakespeare et encore moins celle du tant injustement décrié Tiger Woods ?

La jeune femme parle des relations changeantes qu'on peut avoir avec sa famille quand on devient connu et raconte que lors d'un retour récent chez ses parents pour quelques jours, alors qu'elle papote dans la salle de bain avec sa mère au moment de prendre une douche, elle entend soudain dans son dos cette dernière horrifiée s'écrier:

"Saraaaaah ?! Mais qu'est-ce que c'est que ça ?"...

Sursautant, après consultation dans le miroir, Sarah s'aperçoit que sa maman contemplant machinalement sa fille rentrant dans la cabine toute nue comme le ferait tout parent sans penser à mal, vient d'accrocher le regard sur un détail que cette dernière avait occulté... L'habitude ?

"Ça"
étant une belle marque rouge très identifiable de main en travers de la fesse que la belle n'avait pas pensé à dissimuler outre mesure...

... Et la fille embarrassée de répondre:

"Euh, rien, maman. Juste je couche avec un homme qui me fesse..."

"Mais, euh... Ça fait mal ?" demande la mère dépassée tombant des nues... Je vous passe la suite et le sourire entendu de Letterman.

Bon, j'ignore si c'est là une réaction non contrôlée sortie comme ça ou bien de l'humour juif new-yorkais pince-sans-rire à la Woody Allen, mais la mère de la demoiselle est maintenant citée sur toutes les télés et journaux aux USA...

5 commentaires:

Dame a dit…

Rires... Génial !

J'imagine la surprise de la maman... J'aurais presque envie d'en faire une parodie des nez de Cyrano.

- Ma chérie, ton petit ami est un joueur...

- Quoi, tu es tombé sur un sadique ?

- Je te souhaite bien du plaisir.

- Quitte-le et très très vite.

- Ah si ton père avait su !

Etc...

Elea a dit…

Je trouve cet extrait particulièrement excellent...

J'aime ce genre de filles sans pudeur puritaine.

Jolie fille de surcroit et qui a le bon gout d'aimer la fessée...

Stan/E. a dit…

Elle est belle, mais qu'est-ce qu'elle surjoue quand elle cause: mimiques, haussements de sourcils, et mains à l'italienne... Elle minaude à l'américaine, quoi...

C'est une sacrée louloute, c'est sûr.
Welcome back, Eléa si rare.

So a dit…

C'est ce qui me pend au nez avec l'une de mes filles (les garçons sont plus respectueux de l'intimité de leur mère, évidemment) qui viennent me trouver où que je sois, et quelque soit ma tenue, dès lors qu'elles ont quelque chose à me dire. Et avec les ados, mieux vaut se rendre disponible quand ils en éprouvent le besoin car après l'heure, c'est plus l'heure ! Aussi, en principe, je tourne le verrou de la salle de bain en cas de marques, ce qu'elles ont toujours du mal à comprendre et accepter. Quoi, m'man pas dispo, oh scandale!!! Je fais croire à un geste automatique de ma part... Mais je ne suis pas à l'abri d'un oubli...
A la piscine aussi, ça pourrait m'arriver. Une marque débordant du maillot à laquelle je n'aurais pas prêté attention...Ou bien dans les douches, les vestiaires. Je ne sais pas comment ça se passe côté hommes, mais côté femmes, on reste rarement enfermé dans les petites cabines individuelles souvent sales et trempées, on ouvre la porte, s'étale sur les bancs pour se sècher, se crèmer, se rhabiller, se coiffer. C'est un endroit où on fait fi de sa pudeur bien souvent.
Si un jour quelqu'un s'en apercevait, je ne pense pas que je réagirais comme cette jeune femme qui, même si elle est gênée, dit que son homme la fesse. Je crois que je nierais en devenant rouge cramoisi et inventerais un mensonge certainement gros comme une maison, mais tant pis ! J'ai le mensonge en horreur, mais ce serait l'exception qui confirmerait la règle.

Stan/E. a dit…

@ So: comme souvent, intéressant commentaire qui nous montre à quel point ces histoires de traces sur les fesses peut se révéler embarrassantes... D'autres points de vue, pour relancer le dialogue sur le sujet ?