21 mars 2010

L'instant de vérité !

1581 - "...Et tu te dépêches !"

Dans un contexte punitif, l'instant fatidique c'est le moment où il faut régler ses comptes. Le face à face avec le cœur battant, quand elle sait que c'est fini, qu'elle redevient une gamine, qu'il n'y a plus d'échappatoire possible et qu'il va lui falloir obéir.

Lui attend, tranquillement, observant sa "proie" en la regardant perdre pied en quelques secondes, rougissante, jubilant de la voir se mettre à bafouiller, se troubler et finalement baisser la tête, avant la culotte, en silence...

Vaincue.

D'habitude, c'est lui qui déculotte avant la fessée, en la prenant sous son bras. Il lui laisse juste déboucler sa ceinture, déboutonner le jean ou relever sa jupe, se réservant le plaisir ultime de baisser la petite culotte d'un coup ou en prenant son temps, selon l'inspiration.

Mais cette fois, c'est à elle de s'exécuter, se mettre les fesses à l'air face à lui et attendre son bon vouloir en se mordant les lèvres. Elle déteste ça.

Forcément, il adore.

11 commentaires:

Le Propriétaire de N. a dit…

C'est effectivement un moment délicieux.

chilina a dit…

Elle déteste ça, mais au fond d'elle même, elle n'attend que ça ...

Oliver Strict a dit…

La déculotter, ou lui ordonner de baisser sa culotte ? Il y a les deux écoles... et le plaisir est dans la variation

Valmont a dit…

Texte très fort et photo très parlante, excellente même d'émotions contenues. Amitiés.

Amoureuse a dit…

Je trouve aussi que le plaisir est dans la variation.

Être toujours surprise, étonnée, que chaque rencontre ne soit jamais vraiment la même, que le feeling de l'instant l'emporte sur des scénario préétablis à l'avance.

Stan/E. a dit…

@Am': oui, c'est un challenge difficile, mais indispensable si on ne veut pas chercher dans un "ailleurs" ce qu'on ne trouve pas. Ou plus.

Les scénarios preétablis rassurent parce que l'on sait où on va. Mais en même temps, pas de surprise sur le menu si on a déjà maintes fois fréquenté l'endroit. Et puis on évitera les fast foods...

Stan/E. a dit…

@ Valmont: "très fort", je ne sais pas... Vous imaginez bien que ce n'est pas calculé. Juste essayer de retranscrire les émotions, vécues la plupart du temps, imaginées (composées) de temps à autre, en fonction des souvenirs...

Merci de passer me lire, et plus encore de me le dire, vous savez combien je tiens à ces échanges dans les commentaires entre nous tous. Lire, c'est bien, réagir, selon l'humeur, c'est encore mieux, je crois...

Stan/E. a dit…

@ chilina: oui, l'acceptation tacite fait partie du jeu. Sans ça, rien ne peut se passer. La contrainte "réelle" ne fait pas partie de mon univers qui est ludique avant toute chose, partagé et surtout... voulu !

dorine de la M a dit…

Devoir se dévêtir ou être déshabillée, les deux variantes sont agréables pourvu qu'il ait su créer les conditions du frisson. C'est là son difficile challenge comme vous le faites remarquer. Je donne tout de même a priori ma préférence au scénario " retirer soi-même ses vêtements" en exécutant ses ordres. Je trouve cette méthode plus transgressive, plus éloignée des préliminaires amoureux. Mais en fin de compte, tout est question de circonstances et l'important est que ce soit lui qui décide . . . ce qui la troublera le plus.

Stan/E. a dit…

@ Dorine: oui, bien d'accord sur la transgression. Il faut effectivement une ambiance propice et de la confiance, aussi...

So a dit…

Et parce qu'il me regarde avec cet air de jubiler de mon trouble, ça me trouble encore davantage...Mmmm j'adore...
Vous êtes vraiment très fort pour faire ressentir les choses !