11 mars 2012
Mademoiselle a un peu chaud !
Depuis qu'elle est montée dans sa Golf verte, elle sent qu'il cherche un endroit où s'arrêter.
C'est clair. Cette petite conne l'a tellement agacé au téléphone la veille qu'il lui a promis que la correction administrée serait exemplaire. Et amplement méritée. Tout vient à point à qui sait attendre. Et elle le sait.
D'ailleurs, il ne lui a pas laissé le temps d'imaginer autre chose que ce qui va se passer sitôt qu'il coupera le moteur et se tournera vers elle pour lui intimer de quitter son siège, avant de le suivre dans un endroit isolé de la campagne, penaude et cœur battant en tenant son jean déboutonné pour éviter qu'il lui entrave les chevilles en marchant...
Ensuite ? C'est dit, il sera sans pitié.
De toute manière, elle lui en voudrait de la ménager, ce serait presque méprisant, un peu comme s'il ne l'aimait pas. Elle ne veut pas d'autre réponse et a toujours cru que l'intensité d'une fessée est preuve de l'amour qu'il lui porte.
Plus ce sera fort, plus elle aura mal au cul, plus il l'aime, en gros.
En tout cas c'est ce qu'elle a ressenti la première fois qu'elle est rentrée chez elle les fesses écarlates et brûlantes une fois qu'il l'eut raccompagnée chez ses parents après une balade en forêt. Fière d'imaginer que personne ne pouvait la savoir ainsi stigmatisée sous sa petite culotte.
Punie par un homme. Son amant.
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