11 juillet 2013

Envies crues...

   2976 - "Du rêve à la réalité..."

Vous savez que de temps à autre, le flemmard que je suis vous propose des textes envoyés par des lectrices qui suivent le blog...  Osé et cru, ce récit au parfum du réel (mais qui sait ?) me vient par mail d'une jeune femme que certains "anciens" de DD reconnaîtront sans doute, se souvenant de Line, muette pendant des années qui refait surface. Elle m'envoie pour fêter son "retour" un de ces textes qu'on ressent écrits par une plume féminine, avec des mots et des envies qui pourront résonner de façon étrange à pas mal d'autres filles éprouvant le désir de recevoir une bonne fessée.

Tout le problème est de trouver celui qui saura être le fameux tuteur, voir le "grand frère" (quand même limite incestueux) évoqué par la demoiselle qui nous offre là des émotions et des troubles imagés que je sais réels chez elle...

C'est un fantasme qu'on a beau fuir, en croyant y échapper, il revient toujours sans crier gare...

"Gare !"

"C'est le cœur lourd que je m'avance vers lui. 

Lui le grand frère protecteur qui m'a toujours aidée, conseillée, protégée et encadrée. Il le sait j'ai fait une faute grave. Une faute impardonnable à mon sens, qui me pèse sur le moral, sur mon comportement. Il sait aussi que s'il ne fait rien, je finirai par me renfermer dans ce mutisme à en perdre toute joie de vivre. Il me connait trop bien et sait comment réagir en conséquences pour freiner  de suite l'enchainement infernal. 

Il entre dans son rôle de tuteur, de grand frère recadreur.

Il se met face à moi et essaye de planter son regard dans le mien. Mais je suis déjà partie dans un déni de moi même, et regarde fixement le sol en moquette de la chambre. Avec une infinie tendresse, de son index, il relève mon menton et de son regard bienveillant me parle avec douceur.
 

Il sait que la faute est grave, que je ne me pardonnerai pas et m'explique comment il va m'aider à sortir de cette spirale infernale. Alors son regard se fait plus dur, ses mots plus menaçants, il prend à cœur son rôle et se transforme en grand frère exigeant. Je le regarde angoissée et comprend que je ne peux échapper à une inéluctable correction.

"Line, tu as besoin d'un bonne fessée. Tu expieras par tes fesses, seras pardonnée par tes pleurs. Tu peux gémir, pleurer, supplier, rien ne pourras me faire changer d'avis, j'irai jusqu'au bout !"
 

Je réalise ce que je suis venue chercher, troublée et affolée, je tente un mouvement de recul. Mais d'un geste rapide ta main vient saisir la mienne, et dans les yeux, la sentence tombe: "Je sais ce dont tu as besoin pour rester dans le droit chemin, Line: d'une fessée magistrale."
 

Sortant d'un rêve éveillé, je tente des bribes de défenses, bien vite balayées par ton regard. Tirant sur mon bras, je me retrouve en travers de tes genoux, dans une position plus qu'inconfortable, la honte monte à mes joues. Ne me laissant même pas reprendre mon souffle, tu me ceintures avec force.

"Une bonne correction se donne cul nu...."


Nooon, je tente de me débattre, tu accentues ton étau sur ma taille, et relèves rapidement la robe pour descendre la culotte aux chevilles. Tétanisée par le spectacle décadent que j'offre à ton regard, la honte aux oreilles, je décide de rester le plus digne possible. Avec vigueur et force tu attaques la fessée. Je comprends vite que la fessée sera difficile pour moi, et que mon cul en sortira cramoisi.


Mes mains s'accrochent à ta jambe, j'enfonce mon visage dans la couette et essaye de retenir mes cris. J'ai vite compris que ton but était de me faire craquer, pleurer, me vider de toutes ces émotions négatives qui m 'empoisonnent. Tu veux que je pleure, de gros sanglots libérateurs. 

Mais je ne sais pas faire cela, je contrôle si bien mes émotions même dans ces moments critiques. Je ne veux pas être jugée par ton regard, même si je me fais punir telle une petite fille qui a fait une grosse erreur. Aussi tu continues à me gronder, à me porter dans ce monde enfantin, pour que la honte rejaillisse encore plus fort. 

Tes claques s'accentuent, mon souffle s'accélère, et désormais, je laisse échapper des cris de plus en plus rauques. Non, je ne cèderai pas, je ne veux pas craquer, je tiendrai grand frère, tu ne gagneras pas sur mon esprit, je veux me contrôler, je ne sais pas faire autrement. Mais la situation chauffe, mon esprit s'emballe, tes mots touchent, tes claquent touchent, la petite Line ressort, les gémissements se font pressants.
 

Alors, avec fermeté tu me relèves en face de toi, les fesses en feu. Ton regard est encore plus dur, tu as enfilé un masque de tuteur imperturbable, c'est troublant pour moi qui ne peux répliquer à tes remontrances. Je sais que ce n'est pas fini, je frissonne.
 

Et là, te rendant compte que je suis presque en train de craquer, spontanément tu me gifles. 

Une gifle pas forte, certes, mais suffisamment appuyée pour que ma joue me chauffe, et atteindre mon esprit. Mon regard change, se fait plus humide. "Line, j'irai jusqu'au bout et tu pleureras et relâcheras toutes ces tensions néfastes. S'il le faut j'utiliserai ma ceinture."  

D'une main, tu commences à déboucler ta ceinture. 

Paniquée, mon esprit s'emballe, mes joues se font rouges. Tu sors ta ceinture de ton pantalon, la recourbe et me la montre. Me fait toucher l'épaisseur et la rigidité de l'objet. Je fais non de la tête, je n'ai aucune envie de goûter à cet instrument qui me fait extrêmement peur.
 

Tirant à nouveau sur mon poignet, tu me bascule à nouveau sur tes genoux déchaînant tes foudres sur mon postérieur. Je ne t'avais jamais connu aussi vigoureux dans tes attaques, mon esprit affaibli, mes jambes s'agitent très rapidement. 

Très vite, une première larme coule sur ma joue, accompagnée d'une suivante. La coque s'est brisée, je supplie que tu stoppes, je crie, je pleure désormais à chaudes larmes. 

Tu es le maître du jeu, et seul toi pourras décider quand la fessée sera suffisante et à la hauteur de la faute. Aussi tu continues encore, jusqu'à ce que mes jambes arrêtent de danser, que mon corps se soit apaisé et relâché. Que mon cul est payé pour mes erreurs, que je demande pardon.
 

Là, tu me relèves une deuxième fois et m'indique de ton doigt un angle de la pièce sans un mot. Je te regarde suppliant mais ton regard sévère n'a pas changé. Alors, je me plie à ta volonté et me retrouve à réfléchir sur mes fautes, le cul incandescent dans le coin de la pièce. Les mains sur la tête, je reprends mon souffle, je ne tente même pas d'apaiser le feu de mes fesses, te sachant derrière moi. 

Je renifle encore maladroitement.
 

Après un petit moment, tu me rejoins, remonte ma culotte, et me serre fortement contre ton cœur. Pas un seul mot ne sort de ma bouche; mon corps, mon regard, mon esprit se sont vidés. 

Les tensions se sont envolées. Tu glisses ta bouche au creux de mon oreille: “Je t'aime Line...“
Texte © Line
Image © FirmHandSpanking.com

6 commentaires:

mike a dit…

Voilà un récit bien posé, la prose est très imagée... J'aime ressentir quelques petits picotements et chaleurs quand je lis. (ben quoi, c'est humain non ?)
Je ne sais si c'est l'auteur qui à choisi les photo ou le maître des lieux, mais j’apprécie toujours quand elles correspondent avantageusement à un texte et c'est le cas. Celle du lit est vraiment extra.

line a dit…

Bien que la seconde photo me ressemble beaucoup, j'ai laissé le soin à Stan s'illustrer ce texte. Travail qu'il fait à merveille. Merci Mike pour le gentil commentaire. Je crois l'avoir trouvé ce grand frère incestueux, il prend soin de moi. Au fait "Gare!" : gare à quoi ?

Anonyme a dit…

I love that

sixofthebest a dit…

Stan/E. Happy Bastille Day July 14th 2013. And many more to come. As you celebrate joyfully France Independence Day. I am a soccer fan, and I love the way Henry plays the game, My teams are 'ARSE'nal', and the NEW YORK RED 'bottom' BULLS.

Stan/E. a dit…

Well thank you... I dont like soccer too much, and I remmber the Henry's hand, helping France to be in the last Mondial... But I understand you're a great fan, anyway.

D Kathia a dit…

Cette dernière photo, me rappel bien des choses . . .