Jeux vidéos...

   2989 - "Kidnappée..."

J'ai déjà récemment passé une vidéo de ce petit couple anglais vivant dans l'Essex. On ne rit pas, ce n'est pas un jeu de mot.. Fort connus des amateurs, Kissie et son compagnon sont de grands consommateurs de fessées conjugales lesquelles se déroulent toutes un peu selon le même schéma, à la maison.

Ce qui est probablement la même chose pour tout le monde, d'ailleurs dans un jeu de rôle fesseur/fessée où chacun connait sa partie sur le bout des doigts pour que le "spectacle' soit en tout point réussi...

Quand on aime un truc, on le répète souvent à l'infini, n'est-ce pas ?

Parfois, Alex termine madame à la cuillère. Fort peu pour moi qui préfère laisser les ustensiles de cuisines à leur place et fesser à la main. Mais c'est vrai que si elle n'a pas fait la vaisselle...

Qu"est-ce que je raconte moi ? Ça bien fait trente ans que j'ai une machine...

Bref. Voilà-t-y pas qu ils ont variés les plaisirs et se sont amusés cette fois à changer leur scénario usuel remplacé par une petite sortie en forêt ?

En gros, la miss qui se promène curieusement  comme le petit Chaperon Rouge dans une chouette décharge remplie de containers (!) est kidnappée par le loup. Enfin, par un satyre (son mari, ouf !) puis entraînée dans un bois par le gars qui l'attache avant de lui faire subir mille avanies les fesses à l'air. Du classique.

En fait, le scénario raconte une vengeance, le frère du type qui enlève la pétass... euh, la fille, a été accusé à tort et envoyé en prison pour un délit commis par le propre frère de la nana... (vous suivez ?) Et le gars veut se venger en fessant little sister, en filmant le tout avant d'envoyer le DVD gracieusement au frangin... Une vendetta culière, quoi.

Faut bien un prétexte, celui-là ou un autre, hein...

On parle bien entendu ici d'adultes consentants qui vivent un jeu de couple. Qui s'amusent !

UN JEU. Pas d'un de ces horribles fait-divers tout à fait condamnables, évidemment. Compliqué de toucher à ça quand on connait la frontière ténue entre vécu, fantasme et une réalité parfois sordide.

Pourtant le fantasme du viol (qui n'est pas ici le sujet) est une constante féminine qui revient souvent dans des troubles de contrainte. Acceptée, pas imposée, évidemment...

Vaste débat.

En attendant ces deux-là se sont bien renouvelés !

Images © ttkspankings