19 novembre 2014

Vérifier d'un doigt...

3140 - "Sexe et fessée ?"

Ben oui, c'est sans doute un peu lié. Même si je sais pour l'avoir vécu qu'on peut très bien fesser sans bais... euh conclure dans la personne ! Je vous assure. C'est même un must.

Mais avouons messieurs que c'est aussi assez troublant de constater l'effet qu'on procure, le trouble, les vibrations du corps autant que de l'esprit.

Dans cette posture humiliante et honteuse qu'on fait prendre à sa compagne, en l'inclinant comme une gamine en travers de ses genoux avant de la déculotter pour la fesser, je crois bien que je suis aussi troublé qu'elle, d'oser passer à l'acte, de savoir que c'est inéluctable, que ça va arriver et qu'on ira au bout du jeu.

Qui n'en est pas un, d'ailleurs, au sens propre du mot.

Ludique, partagé, ressenti, certes. Mais toujours entre adultes consentants.

Elle sait bien quelle en montre bien trop, que c'est "sale", osé, honteux.

Elle en rougit, se trouble, bafouille, tente de dissimuler son intimité offerte au regard en tirant sur sa culotte dans un sens contraire à celui que vous tentez de faire prendre à ce bout de tissu, lequel de toute manière ira bientôt rejoindre un jeans déjà entortillé aux chevilles...

Lui donner une bonne fessée... Ou la caresser pour constater d'un index ou d'un majeur inquisiteur qu'elle ne peut contrôler son désir et que l'humidité la gagne, à son corps défendant...

Oser prendre son pouvoir d'homme, en oubliant un temps que c'est elle qui vous l'accorde et que, sans son réel désir d'être punie, il ne se passerait rien... C'est une fessée, pas un viol ni un acte imposé sans que l'acceptation ne soit tacite. Même si elle a besoin de dire "non", de demander pardon en criant et en gigotant, sans d'ailleurs percevoir qu'en faisant ça elle en montre bien plus encore, au fond on sait bien que c'est une complicité érotique qu'on s'offre là... À deux.

Obscénité de la "pose imposée"...

Comme l'est ici cette jeune femme en travers des accueillants genoux de mon amie Kelly Payne ! Con et cul, deux ouvertures impudiquement exposées avant que d’être utilisées au bon vouloir d'un cruel bourreau qu'elle sait aussi tendre amant, quand il convient...


Oui, il m'est arrivé d'être fâché pour de bon et qu'alors la fessée ne devienne quelque chose d'encore plus fort: parce qu'elle se sait coupable et veut demander pardon. Avec ses fesses. En entendant vos mots. En crevant de honte mais aussi de jubilation de trop en montrer... Et avant d'en montrer bien davantage encore, poussée dans ses derniers retranchements...

Too late !
Image © Kelly Payne

16 commentaires:

mars a dit…

Privée de gif chez vous, encore une fois (je l'ai vu chez Alda) je me dis tout de même que ce monsieur costumé, sûr de lui et dominateur m'évoque un Jon Hamm de la bonne époque de mad men.

Ellie C. a dit…

Oulala super érotique le Gif. La demoiselle ne bouge pas d'un pouce. Si y a bien qq chose qui me fais gigoter c'est ça

Stan/E. a dit…

Bon, la demoiselle ok, mais le gif ? parce que chez moi, il marche hein... Je lis ci-dessus que mars le voit comme une image figée, je crois, ce qui est dommage, convenons-en...

MarieO a dit…

Je le vois bouger aussi le GIF sur mon PC et mon portable.
Mais comme dit Ellie, ça pas l'air de lui faire grand chose à la dame.

mars a dit…

Non, en fait je ne vois aucune de vos images, seulement chez les autres. Mais vous êtes bien représentés chez les autres, heureusement. J'aime beaucoup votre billet.

Ula Oups a dit…

En crevant de honte mais aussi de jubilation de trop en montrer... Et avant d'en montrer bien davantage encore, poussée dans ses derniers retranchements...

Cela me rappelle un (le seul ?) joli moment du film Mémoires d'une Geisha (Rob MARSHALL, 2005), autour de la 52ème minute, lorsque Mameha explique à Sayuri comment elle remercie son danna dans la maison de thé, en lui montrant son poignet, une minuscule parcelle de peau nue, "toujours par accident, cela va de soi".

Bon alors bien sûr on en est loin, impudeur occidentale oblige, mais... J'aime bien ce petit jeu de l'impudeur qui s'en défend, d'autant plus dans un rapport punitif. Montrer sans en avoir l'air, pour attiser les foudres autant que le désir, une certaine façon de remercier, et boire sa honte jusqu'à la lie tout en feignant la pudeur outragée... en espérant bien plus encore !

PS 1 : joli GIF, pas de problème de visionnage chez moi

PS 2 : "Deux yeux qui voient un beau cul, ne valent pas un doigt qui touche." Professeur Choron

Stan/E. a dit…

J'ai hésité à proposer ce gif (vu ailleurs aussi...-, sans doute un peu cru et plus sexuel que d’ordinaire en ces pages. mais après tout, ça fait AUSSI pour moi partie du jeu, selon les désirs qu'on a de la demoiselle qui s'offre ainsi aux claques.

...Et aux caresses.

Stan/E. a dit…

Il fut un temps où dans notre pays, montrer une cheville était d'une grande impudeur. on se souviendra avoir lu des textes sur les premières baigneuses en maillot de bain, fessées solidement maillot retiré par de robustes femmes de marins bretons venu montrer à ces Parisiennes impudiques qu'on n'aguiche pas les hommes avec des tenues qui de nos jours semblent juste impossible...

Je n'ai pas vu le film évoqué, mais c'est sûrement une jolie scène...

Nono a dit…

Pour ma part, je vous confirme que ma femme est bien humide après une bonne fessée. Suffisamment pour que j'en profite pour humidifier sa petite porte, et pour l'entr'ouvrir....

jacqueline a dit…

bonjour stan je voudrais savoir si cette pratique se fait uniquement aprés accord de la demoiselle où de la dame ; où bien si le fesseur peut se le permettre comme punition suplémentaire suivant un cadre imposé pour accentuer la géne et la honte?
évidement dans le cadre de la discipline conjugale c'est different car c'esr le mari où le compagnon qui donne la fessée
la situation 'est un peu différente .... pouvez vous me répondre
cordialement Jacqueline

Stan/E. a dit…

Ma foi, je ne pourrais répondre que pour moi, ce qui a un intérêt et une portée limitée, vous l'imaginez bien. Je ne fais rien qui ne soit tacite, ni n'impose arbitrairement quoi que ce soit. Dans le cadre d'un partage mutuel, conjugalité ou pas m'importe peu... Tout est dans l'art de faire ce que l'un et l'autre ont envie de faire, en le devinant sans "demander la permission" de l'autre... C'est subtil et pas donné à tout le monde, je ne sais pas si je suis clair ?

Maintenant, je ne suis pas non plus LA référence absolu, il y a autant de façon de faire que d'individus, je dirais...

Zabelle a dit…

La veinarde!

Nono a dit…

La chance se mérite !!!

Stan/E. a dit…

Quelquefois, j'aime bien être "choqué" (dans le sens "contact") par l’obscénité crue d’une image osée et sexuée.

Et vous ?

Zabelle a dit…

Choc délicieux!
Évidemment , qu'on aime ça. Il faudrait être hypocrite pour dire le contraire !
Obscénité crue, osée, sexuée: j'ai chaud!

Stan/E. a dit…

Prenez une douche, je vous y rejoint...

Fort heureusement, l'hypocrisie n'est pas le lot de nos lectrices qui appellent un chat un chat. Ou une chatte, évidemment.

La fessée est un trouble partagé, à condition d'être autant dans l'envie que dans le désir pour monsieur autant que pour madame. Je ne fais plus de prosélytisme là-dessus depuis longtemps. Internet m'a fait comprendre qu'il y a des filles qui se passionnent tout autant que moi sur le sujet, et depuis aussi longtemps...

je sais à quel point c'est fort quand on a la même passion pour ces plaisirs-là, sans les imposer à l'autre, qui s'y jetterait uniquement pour faire plaisir.