20 juillet 2015

Aller au bout des choses...

3272 - "Acte de contrition"...

Elle avait écrit avoir envie de trouver ses limites. Pas les siennes à lui, évidemment !

Se dépasser juste ce qu'il faut. Ressentir une vraie douleur au cours d'une correction jusqu'aux larmes qui se diffuserait ensuite dans tout le bas du corps, en bouffées de volupté, une fois la cruelle punition appliquée...
Qu'il ne fallait pas qu'il s'arrête même si elle lui demandait grâce !

Elle voulait comprendre ce que signifiait "avoir un fesseur" qui ne lui laisserait rien passer et qui lui répétait qu'un mauvais comportement "se payerait cul nu..."

Il était prévenu...

Alors il avait fait exactement (un petit peu plus que) ce qu'elle attendait...
Image © ? 

7 commentaires:

Sophie a dit…

C'est tout l'art d'un bon partenaire de savoir dépasser -un peu- les attentes de sa complice. L'attente d'on ne sait exactement quoi, la surprise ont souvent été pour moi les gages d'une rencontre réussie.

A contrario, quand tout est écrit d'avance, voire quand c'est moi qui fixe les limites, l'émotion est moindre ...

les meilleures fessées ne sont jamais celles auxquelles on s'attend ...

Madame a dit…

Vous savez analyser les sentiments, les émotions . Et je ne pense pas que ce soit simplement parce que vous maîtrisez votre sujet.
Vos écrits sonnent toujours justes, même et surtout quand je me dis: "tiens, je n'y aurais pas pensé".
Par contre, je trouve cette image sinistre , même si je trouve que le geste de se frotter le popotin "ouille, ouille , ouille mes fesses" plutôt comique.

Stan/E. a dit…

Je plussoie et abonde dans votre sens...

Au fait, si c'est aussi un adjuvant plaisant, l'attente parfois, c'est également une possible "déception" (qu'on relativisera) à l'arrivée, il ne faut pas l'omettre. Heureusement, je suis gâté. Les filles sont plutôt joueuses !

Stan/E. a dit…

C'est peut-être les teintes choisies assez sombres qui rendent l'image sinistre. je n'en ai pas l'auteur ni l’utilisation...

Stan/E. a dit…

PS @ Sophie: Vous m'en direz tant...

Ogreline a dit…

J'aime beaucoup l'image. À regarder vite, on ne pourrait y voir que l'image d'une punie qui se frotte les fesses. Mais moi, j'y vois l'image d'une femme qui tient son jupon entre ses dents afin d'être en mesure de pouvoir à la fois apprécier à pleines mains les sensations laissées par son fesseur sur ses deux lobes, et l'aguicher en lui montrant ces fesses. La coiffe empêche de voir son visage, mais je suis sûre qu'à y regarder de plus près, on pourrait avoir des surprises sur son expression.

L'acte de contrition: la douleur méritée des péchés et l'envie de faire plaisir, s'applique au fesseur aussi non ? (déplacé sur les mains, évidemment...)

Kamalika a dit…

C'est ce que j'attends de mon Maître, ou ici...fesseur...Après, chacun évolue et vit la fessée de manière très différente.

Pour ma part, je ne me retrouve pas dans les mots suivants "jusqu'aux larmes" car je ne pleure pas sous la fessée. Je n'y arrive pas...Ce n'est pas parce que le fesseur serait mauvais ou ne saurait pas quelle attitude avoir avec moi, c'est vraiment quelque chose qui pour le moment m'est encore impossible...

J'aurais plutôt tendance à pleurer sur des mots prononcés à mon encontre pour me rabaisser avant la punition plutôt que lors des claques qui s'ensuivront.

Donc, quand je lis ce genre de mots, d'envies, cela m'émoustille beaucoup car j'espère un jour vivre ces larmes qui libèrent, excitent aussi j'imagine...

Le dessin ne me plaît pas non plus mais on voit bien une femme aux formes généreuses et ce doit être un plaisir pour le fesseur de voir cela et d'en profiter...