14 août 2011

Ces instants juste "avant"...

 2502 - "Baisser lentement la petite culotte..."

Oui, je comprends que certaines filles apprécient le "confort" (ou l'esthétisme) d'un string, voire le plaisir ne pas porter de culotte du tout sous leur jupe, mais du coup, c'est frustrant pour celui qui aime la fessée et tout le "cérémonial" qui fonctionne autour...

C'est déterminant pour la suite. Paroxysme de l'histoire, le moment où le cœur bat le plus vite. L'instant suprême: celui qui donne et celle qui reçoit ne peuvent plus reculer et l'inexorable va enfin arriver...

Assis sur le lit, je l'ai attirée vers moi. Debout, elle se mord les lèvres, détournant des yeux presque fermés pour éviter de me regarder en face. Je la devine fébrile, je la sais mouillée, émue, troublée, prête à tout lâcher, tout céder. Je suis sur le fil aussi, tendu, excité, mais maîtrisant suffisamment notre histoire pour l'emmener au loin, sans rompre le charme naissant, cultivant le trouble et le désir qui nous ont envahis...

Je baisse la culotte, découvrant un derrière rond, voluptueux. Ses fesses palpitent, se serrent, se relâchent spasmodiquement, montrant "tout" de manière impudique, ce qui l'électrise de honte jubilatoire impossible à maîtriser... Ses ouvertures, sa pudeur, secrets de chair qui ne se montrent pas d'ordinaire. Pas comme ça.

Ici elle ne triomphe pas de son "offrande" comme elle le ferait dans une approche classique, dans une féminité sexuelle séductrice qu'elle sait maîtriser. Elle est juste mise à nu par l'homme comme une insolente petite garce qu'il convient de recadrer. Du coup, pour la fessée, c'est un tout autre contexte que quand elle fait l'amour, même si les sensations se rejoignent, elle succombe, pas fière et totalement honteuse...

Appréhension, frousse, envie, tout est mélangé. Elle se crispe, tentant illusoirement de protéger sa croupe nue de la fessée, serrant les dents pour se préparer à la douleur cuisante attendue qu'elle imagine, sans commune mesure pourtant avec ce qu'elle va recevoir...

Il ne faut pas la faire attendre, la première claque résonne, forte, appliquée sans le moindre temps d'accoutumance, directement magistrale. Celles qui suivent le seront tout autant...

Elle attendait cette fessée comme une libération.

Elle attend plus encore le moment où je la prendrai dans mes bras, après lui avoir rougi les fesses.

5 commentaires:

Stan/E. a dit…

J'en suis confit. Tendresse , évidemment. la fessée est aussi une façon de (lui) faire l'amour. Pour que j'aime il faut que je sache qu'elle aime aussi.

Diaph' a dit…

Pour moi, la tendresse vient après.

Parce que j'aime lorsque ça commence "fort", en corps à corps, émotions à fleur de peau...

"Appréhension, frousse, envie, tout est mélangé
Oui, c'est exactement ça.

Stan/E. a dit…

Oui, évidemment... C'est une sorte de jeu de rôle, au fond, où chacun trouve sa place...

So a dit…

C'est exactement ça !
Comment faites-vous pour parvenir à si bien exprimer ce que NOUS ressentons alors que je ne sais toujours pas, après tant d'années de complicité, ce qui se passe dans sa tête à LUI, lorsque son regard et sa voix se font durs et qu'il devient cet amant exigeant et sévère qui me fait perdre pied ?...

Stan/E. a dit…

So, je ne sais pas pour votre LUI, mais pour Elle, j'ai une petite idée. En fait c'est une question d'investissement et de partage. Pas mal de retenue avant de me lancer, observation du moindre de ses mouvements pour vivre de jolis moments, érotiques et troubles.

Forcément j'y prête (très) attention... Et le binôme le sait, donc peut se laisser glisser sans (con)crainte.