2852 - "Trop en montrer... Ou pas assez ?"
Pour les lire parfois sur le sujet, je suppose que la plupart des lectrices habituées du blog trouveront cette image bien trop précise et "crue". Vulgaire, sans doute trop sexuelle, froidement "anatomique". Je sais, ça ne plaît guère et en la matière, on préfèrera toujours l'évocation à la vision directe, l'érotisme à la pornographie, la pudeur à l'exhibitionnisme. Normal. Je partage...
À un détail près...
Loin de moi l'envie de choquer gratuitement, mais ces dames à la pudeur paramétrable élastique oublient simplement que quand on les fesse, c'est exactement ce qu'elles exposent en s'agitant sur les genoux de leur correcteur, une fois déculottées...
Et qu"il arrive sûrement qu'elles prennent aussi parfois cette position sans équivoque pendant le déduit ! Certes très sexuelle, évidemment. Mais sans hypocrisie, la fessée est-elle une composante excitante du sexe à partager au cours d'une séance de galipettes ou juste une punition humiliante qu'on exerce hors désir ? Vaste question. J'ai ma réponse.
Et donc, quelle image est vulgaire, laquelle ne l'est pas ? Celle-ci l'est-elle ? Quelle est la limite ? Êtes-vous choquées ?
Ambiguïté des femmes... Vous m'en direz tant.
Dessin © ?
35 commentaires:
Et quelle est votre réponse ?
Ne voyez vous que le sexe dans la fessée ?
Un fesseur fesse t-il pour voir et en profiter ?
La fessée que représente t-elle pour lui ?
Votre sujet peut engendrer un tas d'autres questions.
Les femmes doivent être exposées et se positionner mais il serait bon que les fesseurs s'expriment aussi.
Que signifie donc cette exposition de nous ?
Votre sujet m'incite à poser des questions.
Que sommes nous (à vos yeux aussi messieurs)si nous savons que nous nous exposons sans pudeur ?
Ben on peut dire que votre sujet ouvre sur plein d'autres sujets..oh la la...
Si en me lisant avec régularité vous avez encore des questions sur ce que j'aime ou pas, c'est que vous avez mal lu... Et ici, comme à la police, c'est moi qui pose les questions... rire.
En fait, c'est l'avis féminin qui m'intéresse, davantage que ce que pensent les hommes dont je ne doute pas que peu seront choqués. C'est plus en rapport avec la pudeur, la façon de vivre les chose et d'appréhender son corps, sans doute, que je voudrais entendre, lire, les femmes qui viennent ici et qui, je le sais, n'aiment pas trop les images crues "à orifices", si je puis dire.
C'est vrai que je ne suis pas fan des images avec "sexe exposé" permettant de voir l'intérieur de la dame quasi jusqu'aux amygdales, pour ma part. Mais ce n'est que MON avis. En fait ce dessin précis, techniquement joliment fait et anatomiquement sans failles ne m'excite guère, ne me parle pas.
La canne, le string, et pas la moindre rougeur de la fois d'avant.
Je plaisante. Non, en fait, je n'aime pas ce dessin, mais il permet un débat qui m'intéresse. C'est la raison du post.
Donc, pas le droit de poser des questions ici ?
Oui..personnellement j'ai ma pudeur et ce dessin ne me branche pas le moins du monde.
Je suis quelqu'un de réservé. Je ne suis pas une exhibitionniste.
Je reçois la fessée avec un seul partenaire et jamais devant d'autres personnes.
Oui, j'aime mais je reste très pudique malgré tout.
A quoi rime de s'exposer ainsi si ce n'est une avoir une envie de se montrer. dans ce cas, cela s'applique à autre chose.
Et puis cela est aussi pensée d'homme.
Je me suis déjà positionnée. Les instruments et autres extravagances ne m'attirent pas et ne me plaisent pas.
La fessée a quelque chose de plus noble pour moi..je sais l'expression est étrange mais c'est comme ça...il y a un côté complice, intime, entre deux. Il y a le contact privé, la main qui se fait douce ou frappante, etc...C'est bien au delà de cet image qui ne parle que sexe finalement sans rien de beau autour...
Chacun ses gouts...
vous avez raison, il serait bien hypocrite de penser que Monsieur ne se rince pas l'oeil en nous fessant et que certaines ne prennent pas beaucoup de plaisir à s'exhiber sous cet angle très cru. L'exhibition/soumission fait partie intégrante de la fessée pour moi.
Quant à ce dessin, ben on n'est pas QUE des cérébrales, hein. Moi j'aime beaucoup, les nus érotiques en général, les jolis abricots féminins, les rondeurs du mollet, la nuisette sur le fauteuil, ce regard et cette position d'attente ferait, ma foi, le départ ou la fin d'une jolie histoire. Vous nous l'écrivez ?
Stan/E. They say a picture is worth a thousand words. I'll say it with just a few. Naughty woman. Knicker's down. Bare bottom. Vagina showing. Cane on display. Put them all together. It adds up to 'Six of the Best'. the very best. If I had been in that photo, with her.
"Ravi de votre repentir, Mademoiselle... " avait-il écrit. Mais ?... Quoi ?... Terminez donc votre phrase !... Ces points de suspension appelaient une suite qui prenait dans mes rêves des allures de promesse de punition – je le confesse – amplement méritée. J'avais provoqué son courroux pour la beauté du geste, histoire de. Et pour avoir le dernier mot, puisqu'il m'avait par avance refusé sa main. Certaine d'une immunité clamée un peu trop précipitamment et revendiquée avec trop de conviction pour être parfaitement honnête, frustrée de l'avoir obtenue sans, ou avant de l'avoir demandée ! Ambiguïté des femmes...
À la tension croissante de ces échanges avait succédé le silence, menaçant comme l'obscurité dans une chambre d'enfant. Dans l'attente d'une rencontre annoncée, et à laquelle je ne pouvais ni ne voulais me soustraire, je me prenais à imaginer...
"Mademoiselle, notre rendez-vous prochain vous donnera l'opportunité d'allier le geste à la parole, et de faire montre de votre repentir plus que par des mots. La contrition d'une pécheresse de votre acabit passe nécessairement par l'abandon du manteau de garce dans lequel il vous plaît de vous envelopper, et c'est agenouillée dans votre habit de nudité qu'il conviendra le mieux que vous vous présentiez à moi, sans chercher à dérober aucune parcelle de votre personne à mes regards, en toute humilité. Je veux voir en vous jusqu'aux tréfonds de votre âme pour jauger de votre sincérité.
Pour prouver que vous reconnaissez le bien-fondé de votre pénitence, et que vous l'acceptez sans réserve, vous songerez à mettre à ma disposition l'instrument de votre châtiment : une canne, non pas blanche ainsi qu'il vous amuse tant de m'en affubler dans vos délires logorrhéiques au prétexte que je serais mal-voyant - nous en reparlerons - mais souple et régulièrement humectée.
S'il advenait que vous dérogiez à l'une ou l'autre de ces conditions, je me montrerai d'une sévérité sans pareille. Sur ce dernier point et connaissant votre goût pour la bravade, je vous déconseille de me mettre à l'épreuve, et ma parole en doute, car vous ne souhaitez pas endurer la véracité de mes dires, croyez m'en."
Ce n'est qu'un possible parmi tant d'autres...
Si aucune question n'est indiscrète, et que seules les réponses le sont, je crois qu'aucune image n'est vulgaire, et que seul ce qu'on leur fait dire l'est. Vulgaire, pornographique, ou exhibitionniste.
Ha oui, moi je trouve ça vulgaire et je n’aime pas voir ça. Cela dit ça ne me choque pas.
Je crois que je trouve une image vulgaire à partir du moment où l’intimité est le sujet principal. Bon, oui, je suis prude…
@ Latis
Je ne peux que faire mien le gimmick de Stan : ce récit est purement fictif, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existant ou ayant existé ne serait que pure coïncidence. C'est... de la gymnastique de l'esprit, du réveil musculaire du fantasme !
Du reste, je ne reprends pas du service fessophile. Je m'promène juste en terre inconnue (en terrain connu ?), profitant d'être définitivement détachée :-)
Quant à vos propos gérontophobes, je vous laisse en assumer seule l'entière responsabilité. Je suis comme ça, moi, avec les personnes que j'apprécie : d'une générosité ascétique !
Je ne trouve pas le dessin vulgaire, ni la position d'ailleurs. J'ai bien évidemment été à nombreuses reprises dans cette position, et j'aime en jouer, parfois.
Ma pudeur s'efface (presque) toujours face à la montée du désir, et au plaisir que prend mon homme à me regarder.
Je suis dans le même raisonnement. Je suis prude aussi.
Je ne suis ceci dit, pas non plus choquée.
Mais je ne m'expose pas ainsi et ne me vois pas le faire.
Une image qui ne me choque pas sur ce blog fessophile. Ma réaction serait probablement différente si je la voyais trôner dans le salon d'amis, dans une salle de restau...
Le fait qu'il s'agisse d'un dessin atténue un peu le côté cru. Pour une photo, c'est souvent le noir et blanc qui adoucit les choses à mon regard.
Et puis, si cette image est assez précise quant à l'anatomie de la dame, elle laisse malgré tout notre imagination raconter comme il nous plait l'histoire qui va avec.
Pour ce qui est du qualificatif "vulgaire"... que signifie-t-il au juste ? Question de circonstances, d'appréciation de chacun...
Et cette "pudeur paramétrable élastique", alors ? J'aime bien cette façon de dire. En effet, si ma pudeur peut être très présente, elle sait aussi se faire oublier, mais uniquement avec celui que j'aime et qui m'aime et me respecte, hein!
Dans le feu de l'action, si je puis m'exprimer ainsi, il m'arrive certainement d'adopter spontanément des positions que l'on pourrait qualifier en d'autres moments d'impudiques. Lorsque c'est lui qui me l'ordonne et qu'il prend d'ailleurs un malin plaisir à employer des termes qui me font bien sentir à quelle point je m'offre à lui de façon indécente, je prends davantage conscience de la situation et ça devient plus difficile, une sorte de contrainte qu'il m'impose et qui fait partie du jeu. Et je m'exécute...parce que, aussi paradoxale que cela puisse paraître, j'aime détester ce qu'il me fait ou me demande de faire...
Ceci dit, l'obstacle est pour moi bien plus aisé à franchir que l'épreuve des mots crus qu'il m'extirpe parfois. Sans doute parce que je suis plus à l'aise avec mon corps qui est ce qu'il est et qu'il connait par coeur qu'avec mon âme et ses zones de noirceur inavouables...
A part ça, les questions de Elle, dans son premier commentaire ne manquaient pas d'intérêt. Vous avez botté en touche en répondant "Si en me lisant avec régularité vous avez encore des questions sur ce que j'aime ou pas, c'est que vous avez mal lu." Mais son questionnement ne concernait pas ce que vous aimez ou pas...
Merci So, mes questions n'allaient pas dans le sens compris par le "chef des lieux". (rires)
"j'aime détester ce qu'il me fait"
J'apprécie ce que vous dites. Je le vis aussi. Je lui dit souvent "je te déteste". Il répond tant mieux !
Il n'emploie pas de mots crus ou "vulgaires". Il agit surtout en ponctuant ses gestes par des phrases bien choisies sur une ton ferme mais doux.
S'il employait des mots grossiers par exemple, je ne le tolérerais pas.
Dire que les gens qui me lisent savent à peu près comment je fonctionne me paraît assez évident. En tous cas pour les habitué(e)s du lieu, celles et ceux qui prennent la peine de commenter et celles qui lisent tout ce que j'ai écrit sur ce blog depuis 2006.
D'où si je réponds, redite de ma part sur bien des points. D'autant que souvent, dans ma manière de rédiger, je laisse déjà bien transparaître ce que je pense de ce queje montre.
Et franchement, comment puis-je répondre à: "que représente la fessée pour vous ? ", quand ici depuis sept ans je crois disserter, l'expliquer en détail et tenter de trouver des choses à dire sur le sujet à chaque nouveau post ? Sans oublier ce qui se dit dans les commentaires...
Et puis, si ce que JE pense n'est pas passionnant, à part pour qui partage avec moi certains émois, c'est quand même la somme de plusieurs avis qui permettrait de se forger une opinion ou d'avoir des explications convaincantes et plausibles... Donc place aux autres.
J'adore les mots. Peu importe la grossièreté ou la vulgarité des termes si on entend le second degré. Et qu'on sait que c'est un adjuvant parfois nécessaire au plaisir, à une certaine forme "d’avilissement partagé", accepté et momentané, permettant d'aller dans des zones de soi que notre vie trop policée nous interdit d'ordinaire.
Mais évidemment je comprends très bien que l'on n'aime pas ça bon plus. Jamais je n'impose quoi que ce soit qui peut heurter les convictions. Je peux être convaincant et apporter des choses nouvelles, mais au fond, il faut quand même les vouloir.
Et le prosélytisme en la matière ne m'intéresse pas. J'ai découvert depuis quelques années à quel point c'est excitant de partager ces plaisirs avec "celle" les avaient en elle avant que je ne les apporte comme j'ai toujours fait, avant...
@Elle
Je suis persuadée que le "chef des lieux" comme vous vous amuser à l'appeler avait fort bien compris le sens de vos questions. Mais bon, y'a des moments comme ça où il n'est plus dans l'échange mais dans l'attitude plus égoïste du sens unique, tout prendre et rien donner. Et nous, comme des connes, au lieu de lui rétorquer d'aller se faire voir, nous donnons! Tsss, c'est un peu ça la soumission, rire!
Pour ce qui est des mots crus très bien évoqués ici, votre façon de dire "je ne le tolèrerais pas" résonne en moi de façon très/trop tranchante. Ces mots crus, au même titre que la fessée, pour moi font partie du jeu de l'amour, préliminaires et intermèdes. Et dans ce contexte, dans le secret de l'alcove, je suis prête à accepter bien des choses.
Et puis pour finir, vous vous rappelez de ce que rétorquait Georges Marchais (oui, Latis, je suis assez âgé...) en interview au journaliste qui lui disait: "Mais enfin, monsieur Marchais, ce n'était pas ma question !"
"Oui eh bien, en tout cas c'est ma réponse..."
Excellente fin de non recevoir! Y'a plus qu'à s'incliner avec respect pour le coup.
Elle (histoire d'allèger un peu...ou de plomber, c'est selon, rire), je ne sais pas si "ce que JE pense n'est pas passionnant, à part pour qui partage avec moi certains émois" est peut-être à interprêter comme une invitation à payer de votre personne pour obtenir les réponses qui vous intéressent, à vous de voir...
Mmfff, l'ours mal léché qu'est le maître des lieux ce matin (serait-ce dû au fait d'avoir été classé dans la même catégorie d'âge que son confrère bruxellois de tout de même 11 ans son aîné? Enfin, j'sais plus trop d'où je tiens mes calculs qui sont peut-être faux, hein) va-t-il jouer la carte du mépris et passer ma remarque sous silence, ou bien vais-je avoir droit à une de ces répliques cinglantes dont il a le secret ?...
"mal léché..." euh, non ,on ne peut pas dire. Pas léché du tout, en fait. Quand à mon "âge", je ne fais aucun complexe dans ce domaine.
Et pour les "invitations potentielles" qui n'existent que dans l'inconscient, vous me décryptez assez pour savoir que je ne fonctionne pas du tout du tout comme ça.
Je suis certes égocentrique, ce n'est pas vraiment nouveau ni une découverte, mais je préfère quand même de loin des réponses plus "généralistes qui n'ont pas de raison de ramener tout à moi, mon vécu, mes amies, mes fessées ou celles que "je n'ai pas eues", pour paraphraser Pascal Thomas.
En fait, ce qui est le plus intéressant et vous en faites pas mal les unes et les autres, ce sont des réponses avec des anecdotes qui VOUS concernent, moments vécus, rêvés ou enviés... Instants personnels que l'anonymat du pseudo permet de balancer "impudiquement" par écrit devant un parterre d'inconnus qui ne sont pas vos voisins de palier ou vos collègues de bureau...
Mais il est clair pour moi que (même si de temps en temps c'est rigolo), piques, grincements, fou-rires et private jokes ne doivent pas être la règle d'or, afin que tout le monde puisse penser à commenter sans se sentir exclu ou juste spectateur inactif d'une sorte de club privé dont les membres connaissent si bien le patron de la boite qu'ils le soulignent à tout bout de champ.
Je ne vais pas faire la liste nominative de celles qui m'ont fait l'honneur de me croiser, quand même ?
ha, par contre c’est une position que j’aime prendre. Je ne me vois pas donc ça ne me dérange pas...Oui, c’est un peu hypocrite comme raisonnement.
Dans la l’intimité ça ne vous limite pas ?
Ce n'est pas faux ce que vous dites monsieur le maitre des lieux.
Il est facile de se sentir exclu. J'avoue que j'ai eu ce ressenti. L'ai je encore ?
Nos différences font parfois que l'on ressent une sorte de rejet pour ce que l'on vit, pense, ou regarde.
Oui à ma grade honte j'avoue m'être posée ce cas de réflexion : à savoir si je persistai ou non à écrire mes ressentis, mes vérités, mes vécus.
Maintenant pour ce qui est de l'âge, c'est marrant ce "thème" revient fréquemment.
Beaucoup sont plus âgés et alors ? Personnellement cela ne me gène pas et c'est dans mes vieux pots qu'on fait les bonnes soupes ! Je rigole mais grâce à vos expériences j'apprends beaucoup donc merci.
Pour ce qui est de ce que le chef des lieux pense de la fessée ou la voit..j'ai une idée au fil des lectures.
Maintenant savoir s'il est grincheux...ben j'en sais rien mais en tout cas pas autant que moi !
Bien entendu qu'il s'agissait d'une boutade. On se doute bien que si l'élitiste Stan peut prendre son pied avec le sosie d'une égérie Chanel quand bien même elle n'se trouverait pas bien belle, il n'envisagerait pas une seconde d'inviter à ses jeux une à qui William Leymergie pourrait proposer de remplacer Laura du web, aussi ravissante puisse-t-elle être.
Euuhhh, c'est ce genre de commentaire dont vous venez d'expliquer qu'il ne faut pas abuser ?...
Ce que je trouve cru, par contre, c'est l'avatar d'Ula Oups, mais qui est, à la lire, assez bien assorti à son humour des plus caustiques.
Je ne sais pas, Latis, si ce nouveau membre de votre club avait compris que vous aviez compris, alors que forcément vous aviez compris, non seulement parce vous avez le QI nécessaire à retenir l'attention des élitistes, mais en plus tout le monde se doute bien que si mesure de rétorsion il doit y avoir, ce sera/a été avec... le fameux martinet, of course!
Par contre, me semble que ce qui vous a fait réagir n'était de sa part qu'une note d'humour pour souffler à certain(s) fesseur(s) qu'il(s) pourrait(aient) trouver là prétexte à vous fesser. Mais, comme dirait le maître des lieux, je suppute, je suppute...
Vous monter facilement au créneau, Latis. Ceci dit, je comprends, je suis un peu (beaucoup?) pareil. Pas toujours facile d'y voir clair dans les propos et intentions des autres uniquement à travers des commentaires. "Tout de suite les grands mots! Dans 5 minutes, sur base d'un autre jeu de mots malheureux, z'allez voir que je vais me retrouver responsable de la Shoah ou de toute tentative d'holocauste sur les plus de 55 ans!" Ben oui, hein, combien de fois sur ce blog a-t-on pris un de mes mots (amours plurielles, illégitime, insignifiant...) pour une agression, un reproche, un jugement, ou interprété certaines de mes divagations comme un jeu de la séduction quand il ne s'agissait que de ballades purement intellectuelles dans une arrière salle de mon jardin secret que je commençais à tout juste à explorer... Je n'ai jamais été une rivale, hein. Mes remarques peut-être trop mordantes n'étaient bien souvent que des clins d'oeils complices. Là où vous engagez votre jeunesse et votre cul (là je parle crûment, par exemple, mais n'y voyez pas pour autant une attaque), je n'utilise que des mots... et quelques chocolats, je vous l'accorde, rire. D'ailleurs, à propos de chocolats, votre demande m'a étonnée de la part d'une belge. Votre beau pays n'est-il pas réputé, entre autre, pour ses chocolats? Bon, ok, en France, nous ne connaissons guère que les très gras Léonidas et autres Jeff de Bruges. Mais justement, je vous aurais bien demandé le nom de ceux qu'il convient de goûter.
La fessée est un des moments les plus intenses que je partage avec mon Maître. Elle peut ou non s'accompagner de sexe, question de temps disponible, de ses envies, de ce qu'il y a eu avant ou de ce qu'il prévoit après. En tous cas, si elle est parfois humiliante, elle n'est jamais une punition. J'aime trop ça et, pour me punir, il choisit beaucoup moins agréable.
Je ne trouve pas l'image vulgaire mais je ne la trouve pas excitante non plus. Je suis touchée par l'humanité, par les défauts, par les failles. Ici, tout semble tellement lisse et parfait. Cependant, je pourrais très bien imaginer une histoire sur ce dessin et ça ce pourrait être excitant !
Tout est donc pour le mieux dans le meilleur des mondes...
Et pour ce qui est de la jeunesse, là encore, tout est relatif. Pour celui qui vous a souhaité votre anniversaire, et même pour moi, à deux fois... comme le chante Dalida dans une chanson que vous avez évoqué ailleurs (étonnante référence pour une jeune, rire), vous êtes encore jeune.
Cette image traduit nettement une demande féminine - Regard ou action - Le désir féminin exprimé, je trouve ça chouette.
Signé - La fille qui tire plus vite que son ombre
La pose est ici vulgaire et exagérée. Qui plus est, chez une femme qui ne s'épile pas, le sexe est moins en évidence à moins d'écarter beaucoup...
En moins outrée, cette pose n'a cependant rien d'anormal. Écarter les cuisses est un moyen sûr pour une femme de signaler son désir, non? Lors de la fessée sur les genoux, n'est-ce pas le bon moyen pour inviter une caresse?
Pas du tout choqué, l'image n'a rien de porno au mauvais sens du terme. L'image est agréable à regarder et personnellement je trouve que l'attitude de la jeune femme reflète le désir et en même temps un soupçon de crainte.
L'image est bien composée et la petite culotte sur le parquet donne un plus à l'ensemble.
Des fois quand je relis les commentaires, je comprends pourquoi je n'ai pas trop envie d'échanger sur de forums dédiés. Au fond, ici, c'est bien moins agressif et convivial, même si parfois les discussions sont vives.
Elle était pudique. La fréquentation des vestiaires communs, au travail comme à la piscine où elle s'était résolue, à l'aube de ses trente ans et au prix d'un effort sur elle-même, à ne plus céder au ridicule de se contorsionner sous sa serviette de bain pour se changer sans laisser apercevoir la moindre parcelle de son intimité nue, rien ne l'avait délivrée de cette pudeur née de ses complexes adolescents et de son éducation si peu axée sur les choses du corps.
Il aimait d'autant plus l'obliger à la nudité intégrale en permanence sitôt qu'elle avait franchi le seuil de sa porte, quand Lui restait drapé dans son habit d'autorité. Un moyen des plus efficaces pour la maintenir sur la faille du déséquilibre de leur relation en l'exposant au soufre de Son regard et en la rendant parfaitement accessible à Ses rigueurs comme à Ses douceurs à tout instant. Tel un levier qu'Il actionnait pour faire tomber ses défenses et la faire basculer vers cette autre elle vulnérable et offerte une fois dépouillée de l'illusoire armure de ses vêtements.
Elle abandonnait enfin tout contrôle pour passer sous le Sien, premiers pas vers ce lâcher prise tant convoité.
Cette mise à nue forcée, pourtant systématique, n'avait jamais connu la disgrâce de la banalisation, et le trouble était resté intact au fil du temps et des effeuillages. La honte intense de montrer ce qu'elle avait si bien appris à cacher s'était rapidement enrichie du plaisir insoupçonné d'être exhibée. Pas n'importe comment, pas n'importe où ni avec n'importe qui. Avec Lui seul, et dans le secret de l'alcôve.
Jouant de l'effet d'annonce, Il l'avait informée qu'Il exigerait bientôt d'elle qu'elle se masturbe devant Lui et selon ses indications jusqu'à l'orgasme. La vie ne leur en laisserait pas le temps.
Mais cette idée qui avait éveillé en elle autant d'attraction que de répulsion l'avait ensorcelée...
Il l'aurait fait s'étendre, non pas sur le lit, dans la chambre, endroit trop convenu pour créer les conditions d'inconfort cérébral dans lequel Il s'appliquait à la maintenir, mais dans le salon, sur ce bureau de Maître dont la simple vue la rendait fébrile.
Lui aurait pris place dans son fauteuil, à une distance qui n'autoriserait d'autres contacts que visuel et auditif.
Il aurait laissé la solitude et le silence la pénétrer, la mettant au supplice de l'attente, avant de les rompre et de l'inviter, enfin, à un lent ballet de gestes aussi précis que sensuels.
Elle céderait sans retenue à la vertigineuse ivresse de l'indécence, docile petite poupée prenant sous Ses directives les poses les plus obscènes, déflorant le mystère de ses trésors les plus cachés. S'outrageant elle-même de ses doigts qui ouvriraient ses chairs gonflées d'un impérieux désir et s'insinueraient dans son con ruisselant ou dans son cul selon Son bon plaisir. Étouffant ses protestations indignées en se mordant les lèvres et luttant pour Lui obéir quand, la sentant sur le point de jouir, Il lui intimerait l'ordre d'arrêter. Pour reprendre de plus belle, jusqu'à ce qu'elle le supplie. Alors et alors seulement...
Comme toujours, un régal à lire, des mots enivrants et poivrés avec le sel de l'indécence en prime... Merci pour ce joli moment...
Bonjour Stan,
Nous sommes des grandes personnes et comme telles, nous réagissons à "l'éternel féminin" qui nous titille au plus profond de nous-mêmes. Je verrais dans ce dessin d'après photo (chapeau, l'Artiste car difficile de rester stoïque devant une telle vision) un certain érotisme, sans lingerie et autre étoffes. Quant à son auteur, un auteur anglo-saxon , je présume ? Charles.
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