31 mars 2016

On y revient finalement toujours !

3314 - "Des vertus (ou des désagréments) de la canne..."

Personnellement, je suis un adepte de la main et je l'ai souvent répété ici, pour que ça se sache. Pour autant, ne voyez pas une faiblesse dans mon refus d'utiliser des instruments pour martyriser le séant des amies qui ont au fil des années partagés mes jeux depuis le début....

De ma main, (gauche) vraiment je dois l'avouer, personne ne s'est jamais plaint (enfin si, précisément, des plaintes et des cris...) et il paraitrait même selon les témoignages des punies que je fesse plutôt fort, d'entrée de jeu sans round d'observation. En clair, je ne fais pas semblant. Je n'ai jamais utilisé cette fameuse canne anglaise chère aux anglo-saxons mais qui laisse sur la peau des marques et des traces parfois sanglantes, sous forme de stries blanches au moment de l'impact puis rapidement rougeâtres et pour finir violacées que je trouve fort peu esthétiques.

Alors oui, j'ai un joli martinet (merci Waldo...) dans un tiroir, peu usité mais quand même un peu, j'ai de temps à autre joué du sifflement de la cravache, ou même plus piquant, d'une branche défeuillée tranquillement tout en marchant et devisant comme si de rien n'était sous le regard inquiet de la future déculottée, au cours de charmantes promenades impromptues en forêt ou au détour d'une clairière...

Mais la main permet définitivement de mon point de vue un bien plus excitant rapprochement "cuir à cuir" avec le séant de la dame.

Et vous ?

10 commentaires:

Charles a dit…

Bonjour Stan,

Je suis bien d'accord avec vous. Ne dit-on pas que la main est le prolongement des idées de l'esprit chez l'Homme.
C'est un peu comme pour les arts picturaux. Si les pigments utilisés varient, et la technique s'adapte, l'œuvre au final sera toujours visuelle. Du moins, c'est mon avis.
NB : l'auteur du dessin n'est il pas Hardcastle (?).
Charles.

Professeur Max a dit…

Quoi de plus charmant
Qu'un instrument
Négligemment
Oublié. Mais au moment
Du passage à l'acte,
Savourons un contact
Sans artefact
Lors de l'impact ...

Unknown a dit…

OK, je pense que chaque fesseuse et fesseur ont leur préférence. Evidemment, le premier et certainement le plus beau des instruments, si elle peut ainsi se nommer, c'est la main. D'autant plus, qu'à moins d'un accident ou d'être pris voleur dans des contrés où le tranchant du sabre ne fait pas cas de cette belle chose à cinq doigts étoilés sur une paume coussinée, la gratuité de cette partie anatomique est acquise à toutes et tous. Faut-il vanter le touché de chair à chair qui, si même cuisant, reste charnel et sensuel. Cela n'empêche nullement d'aimer les instruments manufacturés, mais, comme le titre de ce post l'affiche " On y revient finalement toujours" Canne ou pas canne, n'empêche que le dessin est vraiment band... enfin vous voyez ce que je veux dire.

sixofthebest a dit…

I love the spanking artist's drawing of a naughty woman's knickers down bare bottom, that is about to feel the pain of the cane on her naked rear end.

amigospanko a dit…

La main est magique, car le cotact "personel" est incontournable. Mais je ne néglige pas les instruments...

Équilibre a dit…

J'aime vraiment trop la proximité avec la belle qui m'offre son postérieur, alors très souvent, j’utilise mon plus bel accessoire, ma main. La cravache n'est de sortie que pour plus d'intensité

EllaJenesaisquoi a dit…

La main clairement reste irremplaçable quand il s'agit d'alterner douceur et sévérité, plaisir et châtiment, récompense ou pénitence ... mais pour moi, quand il se saisit de la canne ... hum je sais que ça va cuire sans échappatoire ni réconfort immédiat et ma foi, j'aime ça ;)

Monsieur Méchant a dit…

Il est vrai que basculer une vilaine en travers des cuisses, la trousser pour lui administrer "l'extrême onction" façon Grand Saigneur est à la racine de mes envies disciplinaires !
Mais j'aime aussi le martinet (Celui de Waldo n'est pas au placard en ce qui me concerne, il tourne à plein rendement!), la ceinture, la canne, le strap, le paddle, la cravache, et tous les instruments en général.
J'ai l'habitude de dire que: "la main n'est pas accessoire mais que les accessoires peuvent donner un joli coup de main...!"
Et puis en matière disciplinaire, il y a ce moment où les fesses qu'on corrige s'accoutument à la nature de la punition. Alors bien sûr, cette accoutumance peut permettre d'augmenter la sévérité de la sanction et d'explorer avec curiosité les vertus des endorphines et des synapses sollicitées d'une façon répétée....

Cependant, en variant les modalités de la punitions (Par exemple: 10 coups de martinets/ 10 coups de ceinture / 10 coups de cannes / 10 claques à la main... et on recommence !!! :p), on empêche/retarde les mécanismes de cette accoutumance en sollicitant d'une manière différente et constamment renouvelée la croupe de celle qui l'a bien mérité ! niark niark niark

Stan/E. a dit…

Cher compagnon de fortune, ce martinet que Waldo a confectionné pour moi avec amour de ses blanches mains d'artiste est toujours à portée de main, si nécessaire. Et puis il n'est pas impossible que le chant des sirènes (et les cris de la même une fois correctement fessée au moyen de ce chat à neuf queues) finissent par trouver un écho pour que je m'en serve en cas d’impertinences évidentes et répétées d'une potentielle "cliente"...

Je ne vous cache pas que la main et ma façon de l'utiliser surprend toujours les vantardes et habituées du "même pas cap", car celles qui l'ont éprouvée ces derniers mois se sont aperçues à leurs dépens que ça faisait son petit effet et que oui, je fessais très très fort...

On croit que c'est facile d'y résister, mais très vite ça (dé)chante ! Ah, niark niark niark aussi.

PS: à vous relire, vos passages sont toujours un plaisir.

Mademoiselle G a dit…

Pour varier et créer un crainte , un trouble certains instruments en cuir me parle et m’attire. Mais je préfère la main et je doute que cela change...