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14 juin 2009

"Lier" miss Sarah from Brighton ?

1053 - "Lust, gluttony, greed, sloth, wrath, envy, pride..." C'est à dire: luxure, gourmandise, envie, avarice, colère, paresse, orgueil... (dans le désordre)

Une cabine so typiccaly british à Brighton. Ville qui me ramène bien des années en arrière, 69 Marine Parade au "British Overseas Student Center". J'ignore si l'école existe encore. Je rentrais d'Afrique... J'avais 16 ans.

Ma vraie découverte de la fessée érotique date de là en partie, quand Mrs Kidd - dans la famille d'accueil où j'ai passé plusieurs mois pour apprendre l'anglais - m'a définitivement modifié la libido en fessant devant moi ébahi ses trois insupportables filles. J'ai déjà narré dans ce blog comment j'ai assisté à certaines séances du samedi soir, à l'heure des règlements de compte familiaux. "Spanking time, girls !" On était en 72...

La jeune dame ci-dessus (et euh... ci-dessous !) ne connait pas mon passé et coïncidence amusante, sort d'une cabine à Brighton, précisément... (y'a pas de GSM, outre-Manche ?)

La miss possède site spécialisé et blog. Elle n'était pas née lors de mes frasques, (ou alors tout juste...) s'appelle Sarah et m'a envoyé un petit mail pour me demander... de la lier ! Oh, pas de fausses joies, pas question ici de bondage, mais de lien internet réciproque.

"A link", en d'autres termes... Pourquoi pas ? J'aime assez ce qu'elle montre et ce qu'elle raconte, même si je ne suis pas plus que ça attiré vers le "payant"... Et puis j'aime bien l'allusion aux 7 péchés capitaux - the seven sins - qu'elle professe dans son en-tête... Mon éducation catho, sans doute.

Je vous laisse seuls juges.

J'aime aussi le mélange sexe + fessées et ce qu'elle en dit dans son blog. Dont l'en-tête est assez explicite, non ?

"Je serai celle que vous vo
udrez: votre secrétaire, une petite pute, une mauvaise élève, une maîtresse de maison à recadrer ou une infirmière en uniforme. Vous n'avez qu'à me demander !"...

Je lui ai demandé... si elle était OK pour une interview "maison" et elle a dit oui. Enfin, "yes"...

Ça me permettra de réviser mon anglais. It's "to be continued"...

Sarah
, see U soon.

Images © SpankingSarah

06 avril 2011

From Brighton with love !

2307 - Daisy Gam

Une artiste de Brighton, ville qui m'est chère et où j'ai connu certains émois il y a, euh... près de 40 ans déjà. Le temps passe, putain !

Des images osées très réalistes, en lavis de gris.

J'aime cette main lancée en arrière et les doigts déliés sur le premier dessin. Daisy est fans des années 40 - 60 et des pin-up's.

Elle représente les femmes dans des poses et attitudes empreintes de soumission, humiliation et masochisme confondus.

 Images © Daisy Gam

07 juillet 2009

Back to school...

Ce résumé n'est pas disponible. Veuillez cliquer ici pour afficher l'article.

21 octobre 2006

Deux "éloges" identiques à une lettre près...

Tant qu'on est dans les livres, si importants pour se construire un imaginaire... C'est drôle comme les humains qui sont parmi les rares mammifères à accomplir l’acte sexuel de face sont irrésistiblement attirés par la "croupe" au sens poétique du terme. Bien au-delà de nos carcans religieux et idéologiques, nos fesses restent le symbole fort d’un appel à la sexualité et au plaisir.

Hommes et les femmes y placent les fantasmes qui leur appartiennent. (ben tiens...)

En me baladant, j'ai trouvé un bouquin qui se veut apporter une réflexion ethnologique et sociologique. Pourquoi pas ?

Ce qui est sûr c'est que la couverture de cet "Éloge de la fesse" est superbe, déjà... L'intérieur (sans jeu de mots douteux) est un peu trop sérieux à mon goût, voire pompeux, mais de l'avis des "spécialistes" (de la fesse ? Ça existe ?), cette étude conduite par le professeur Döpp (non, pas celui des shampoings) décode notre attrait pour les arrière-trains avec la rigueur (!) du scientifique et le plaisir des yeux... Bof.

Autre ouvrage, dont j'ai déjà causé ici, un titre quasi semblable à une lettre près, le célebrissime "Éloge de la fessée" de Serguine.

Je l'ai lu vers il y a un bon moment dans les années 70 et je ne me rappelle pas non plus d'un livre particulièrement bandant.

En son temps (73) il fit son petit effet.

Une relecture peut amener à le trouver un brin dépassé. Pas mon préféré, mais comme c'est un classique...

Le graphiste que je suis était plus emballé par la couverture et le titre que par le contenu quasi professoral, à mille lieues de ma manière de vivre la chose avec mes amies d'alors...

Il faut dire que pour y jouer, j'ai encore un peu attendu après mon année in England... J'en ai déjà parlé au début de ce blog, de ma logeuse de Brighton qui corrigeait ses filles le samedi, pour les fautes de la semaine devant le jeune frenchie gêné... mais quand même bien excité aussi.

Serguine pontifie et à part le fait de reconnaitre pratiquer la chose et lui donner des lettres de noblesse littéraire, pas grand chose à voir avec mon imaginaire dans ses descriptions minutieusement cliniques...

PS: enfin retrouvé la couverture avec la main rose foncé gaufrée de l'édition d'origine... Plus "parlante" que celle (certes plus soft) adaptable au fond à n'importe quel texte érotique, choisie pour la réédition Folio.

07 mai 2015

Holy Spanking !

3235 - "Well... I could stay a bit longer...*"

Scène mythique évidemment très connue du film culte des Monty Python, s'il en est... Mais si vous ne la connaissez pas...

J'ai vu "Holy Graal" peu de temps après sa sortie, dans une petite salle du quartier Latin vers 1975, de mémoire... C'était un OVNI cinématographique, mais je connaissais déjà l'humour anglais pour avoir vécu en Angleterre, à Brighton, une année dans mon adolescence et avoir vu ce style d'humour loufoque à la télé...

Et même vu de près ce qu'était une fessée donnée par ma logeuse à ses insupportables gamines. Mais c'est une autre histoire que j'ai déjà narrée...

Je pense que Gallahad le chaste (sic), ici "sauvé de la tentation" par le preux Lancelot, a dû regretter longtemps que ses copains viennent le délivrer du mal, au moment où il allait rester faussement "à contrecœur" avec ces demoiselles peu farouches et très excitées qui réclamaient toutes une bonne fessée !

Je l'ai même envié, à cette époque...

 
* "Euh... Je peux rester un peu plus longtemps, en fait..."

28 décembre 2011

Souvenirs de mes années 70...

 2577 - "Old England..."

Les habits, les coiffures, les décors, pas de doutes, on est bien dans les années 70.

Ces images désuètes, datant d'environ une quarantaine d'années ont bien du charme à mes yeux, Issues de ces magazines spécialisés anglais consacrés à la fessée. des journaux quasi introuvables chez nous, une spécialité purement british qui a compté plusieurs titres.

Fébrile il m'arrivait fréquemment de les feuilleter à l'abri des regards dans une librairie de Brighton, quand j'étais adolescent.

Incapable de les acheter pour éviter le regard moqueur de la caissière, une fois regagné la maison de la famille qui m'hébergeait pour le semestre, je passais mes nuits à recréer dans mon imaginaire libidineux toutes les scènes vues en photo, au cours de plaisirs solitaires fébriles m'inondant les doigts...

Une des jeunes filles de ma logeuse âgée d'environ seize ans (plus "vieille" que moi de presque une année) s'intéressa alors à moi au point de me faire découvrir les joies du sexe dont je ne connaissais rien. Un peu surprise de mon ignorance crasse, elle entreprit de "déniaiser" son petit Français et le mot n'est pas faible, tant j'étais d'une gaucherie attendrissante peu à la hauteur de la flatteuse réputation des nos compatriotes mâles à l'étranger... Très surfaite en ce qui me concernait, il faut l'avouer.

Croyant naïvement comme je l'avais lu quelque part que TOUTES les Anglaises sans exception adoraient la fessée en lui conférant une dimension érotique que ne partageaient pas nos petites Françaises, j'ai bien proposé, avant de rentrer au pays, de la corriger comme ça sur mes genoux au bout de quelques semaines de progression sexuelle à la sauvette.

Son enseignement incluait pas mal de privautés parmi lesquelles sa préférée: la pipe dont elle raffolait, me gobant la verge comme un merle un ver blanc, exerçant ensuite, une fois la bouche pleine, d'interminables mouvements de succion saccadée dont je n'étais pas fan, vu que ça me laissait la peau rougie avec quelques douloureuses marques de dent. C'est sans doute de là que provient mon peu d'attrait pour la chose...

Mais pas de chance pour l'amateur naissant, elle n'aimait pas la fessée. Bref, à ma demande, elle me fusilla du regard, en proférant un "Please, no !" catégorique..

l faut dire qu'elle était encore punie comme ça régulièrement par sa mère et n'y voyait aucun érotisme, juste un logique règlement de compte familial conçu pour expier les innombrables bêtises dont elle parsemait sa vie de lycéenne peu studieuse, trop intéressée par les garçons, la bière et la moto...

Il fallu patienter un peu avant de commencer pour de bon quelques années plus tard. Avec une Française tout autant surprise, mais pas du tout réfractaire...

17 juin 2009

"Betty bought a bit of butter !"

1057 - J'ai envoyé hier soir toute une série de question à Sarah, ma toute nouvelle copine londonienne…

Certaines curieuses, d'autres plus indiscrètes, voire carrément insidieuses. Pas besoin de vous les passer et d'alourdir ce post, ses réponses suffiront à en comprendre le sens initial.

En gros: qui elle est, comment a-t-elle découvert ce plaisir, comment en est-elle arrivée à exercer ce job si particulier, comment l'a-t-elle inclus dans sa vie personnelle, etc... Du très classique.

Et comme elle me l'avait promis, Sarah ne s'est dérobée à aucune, y compris celles concernant sa vie privée, me répondant trois heures plus tard avec une franchise et une liberté de ton confondante plutôt inhabituelle. Merci à elle d'avoir eu la gentillesse de passer autant de temps à me répondre de façon aussi directe et franche qu'attendue, sans faux-semblant… Ma traduction est aussi fidèle que possible.

"Eh bien Stan, que de questions ! Du coup, par où commencer ? Le mieux est d'y répondre une par une…

Non, je n'ai jamais été fessée enfant, mais j'en ai toujours eu envie. J'étais fascinée par celles de mes copines qui l'étaient et je voulais qu'ensuite elles m'en donnent tous les détails…


Si un film ou un livre contenait une séquence ou un passage sur la fessée, j'étais en transe sans m'expliquer pourquoi… Bien entendu, quand on est enfant, on ignore que cette excitation sur certains sujets "
chauds" constitue à l'évidence un ressenti purement sexuel. Dans mes fantasmes, par la suite, il y avait toujours la fessée comme "plat principal", ce qui une fois parvenu à l'âge adulte n'est pas simple à gérer dans une relation à deux...

En fait, je savais exactement ce que je voulais, mais j'étais trop honteuse pour me l'avouer et encore plus pour ne serait-ce qu'évoquer le sujet avec mes amants… Du coup, j'étais en manque, sexuellement parlant.

J'ai passé beaucoup d'années à refuser de regarder la vérité en face et à nier mes envies profondes, m'interdisant moralement ces fessées que je voulais, on pourrait même dire: dont j'avais un réel besoin…


Et puis prenant mon courage à deux mains, j'ai commencé à suggérer à mes partenaires de me donner la fessée mais comme ils ne partageaient pas ma passion, ça ne marchait jamais…
Donc toutes ces années, j'ai mis une croix sur mes envies, trop perturbée pour accepter mes désirs intimes.

Jusqu'à ce que je rencontre
"Cal" (ce n'est pas son vrai nom) qui partageait mon attirance pour la fessée et a été ravi de réaliser tous mes fantasmes les uns après les autres dans ce domaine… Lui aussi avait toujours eu ça en lui et nous avons cru du coup que nous étions faits l'un pour l'autre.

Nous avons tenté pendant des années de réussir notre couple en se basant trop sur cette attirance réciproque. Relation houleuse et compliquée, faite de ruptures et de rabibochages permanents,
"un coup je te quitte un coup on se retrouve". Usant.

On se faisait beaucoup de mal en poursuivant cette relation, sorte de cercle vicieux qu'aucun de nous deux n'était capable de briser une bonne fois pour passer à autre chose. Je sentais qu'il fallait arrêter avant de nous détruire mutuellement pour de bon, à force.


Alors j'ai fait une pause pour regarder en arrière ma vie, sans concession, sans me la jouer, toutes ces années passées à tenter d'être cette personne que je n'étais pas fondamentalement. Mensonge permanent à moi-même.

Oui, j'avais besoin de la fessée pour être en accord avec mes envies secrètes, mais comment faire ? Pas simple d'en parler d'entrée, au premier rendez-vous…


Je ne voulais surtout pas me mettre en danger en rencontrant un inconnu par le biais du net… Du coup, j'ai réfléchi, cherché une solution et j'en suis arrivée à penser que je risquais moins en proposant ma candidature comme
spanking model

Alors j'ai commencé mes investigations, cherchant des sites sur internet et me suis très vite aperçu que pour la plupart j'étais déjà bien trop âgée pour eux !
Mais au fond, je savais qu'au-delà des stéréotypes, les gens s'intéressant à la fessée ne sont pas tous obsédés par les nymphettes à peine nubiles en uniforme scolaire, jupe courte et socquettes… Et que donc, en tant que femme "normale", je pouvais tout à fait plaire.

Alors j'ai envoyé par mail ma candidature aux maisons de production ne donnant pas d'âge limite…


J'ai tourné mon premier film il y a à peine six mois, en novembre de l'an passé et j'ai adoré ça. Ils ont dû bien apprécier aussi, puisqu'ils m'ont rappelée une semaine plus tard pour recommencer. Et ça n'a pas traîné, dans la foulée on m'a très rapidement proposé de créer mon propre site… Je reçois désormais mon lot de fessées, et plus encore, jusqu'à plus soif !

Soyons honnête puisque tu me demandes si je parviens à en vivre et si j'en ai fait mon job à part entière: le coût de lancement d'un site web et les frais engagés sont énormes, je gagnerais mieux ma vie en étant juste modèle pour différents sites mais j'adore m'occuper de mon site.

Pour ce qui est de la technique proprement dite, ok, je ne suis pas une spécialiste mais j'écris mon blog et répond aux mails et commentaires de ma propre initiative.

Mon site n'a que deux mois d'existence et commence à bien marcher avec un nombre de membres qui augmente régulièrement mais il va se passer du temps avant que la rentabilité ne soit au rendez-vous, crois-moi. Enfin selon eux, si c'était moi seule, ce serait bien suffisant, je me contente de peu. Aucun doute dans mon esprit toutefois que le site, à terme, sera un "succès".

J'ignorais qu'on appelait la fessée "éducation Anglaise" en France…

Je ne crois pas que les parents utilisent cette punition dans les familles de nos jours chez vous. As-tu été puni à l'école toi-même, jadis ? De mon temps, les châtiments corporels étaient déjà interdits, mais pour jouer, il m'arrive de porter un uniforme scolaire comme celui que j'avais jadis…

Je vis au sud de
Londres et Brighton qui a tant compté pour toi si je lis bien ce que tu en dis n'est jamais qu'à une heure de chez moi. Je ne crois pas que je pourrais vivre une relation amoureuse en me passant de la fessée désormais que je sais ce que je veux et suis capable de l'exprimer enfin…

Je souhaite que ce site soit différent des autres. Les
sept péchés capitaux est une idée de moi, et certains sont de réels motifs pour lesquels je pourrais être punie, crois-moi ! Délicat de se juger soi-même sans tricher un peu, mais je peux dire que je ne suis ni jalouse, ni avare et encore moins paresseuse… Mais que j'aime le sexe !

Je peux être très "animale" si je suis bien drivée…

Quelques-unes de mes amies savent ce que je vis, ça ne leur pose pas de problème moral et elles ne me jugent pas du tout, si ce n'est que certaines ont du mal à comprendre pourquoi ça me plaît autant que ça…
Elles ont choisi de ne pas aller sur mon blog ni mon site et ce que je vis n'affecte pas notre amitié de toute façon… Je leur fais confiance pour me protéger et garder le silence sans divulguer ma spanking life pour autant…

"Cal" est au courant aussi. On tente depuis notre rupture définitive de devenir amis, ce qui n’est pas simple, d’ailleurs… Il a rencontré une nouvelle compagne et je leur souhaite le meilleur.

Personne d’autre ne sait ce que je vis.
Bien sûr il existe la probabilité pour mes proches qui ne sont pas au courant de tomber par hasard sur moi au détour d’une page internet, mais il faudrait pour ça qu’ils aillent sur des sites de fessées… Personne ne va sur ces sites par erreur.

En même temps c’est un risque, évidemment. Je ne le souhaite pas, non pas parce que j’aurais honte de ce que je fais ou que je serais incapable d’assumer, mais surtout parce que je ne veux en aucun cas blesser ma famille ou qui que ce soit que j’aime par des actes qui me sont personnels. D’où le secret…


J’ai été fessée par des femmes, et joué avec elles en inversant les rôles à mon tour, pendant les tournages.. Ça m’a bien plu, mais il est clair que je préfère les hommes.

J’ai aussi besoin de savoir que mes partenaires se contrôlent et savent ce qu’ils font. Et surtout qu’ils le font bien, car la mauvaise utilisation de la canne, par exemple, peut occasionner des blessures graves, si c’est un novice qui s’en sert sur vous..."


Euh, là, y’a un truc que j’ai pas compris: "Yes, Stan, I would let you spank me. Especially if you were willing to do so on film... What do you think ?" Euh... Joker ? Passons...

Fessée érotique ou punitive ? J’aime les deux, je crois. Je peux subir de vraies raclées avec paddle, strap ou canne anglaise… Si j’ai vraiment fait une grosse bêtise, je peux même recevoir la canne sur les doigts, ce que je déteste.

Tiens au passage, je me suis aussi auto-fessée au début, mais ça n’a VRAIMENT rien à voir avec ce qu’on peut ressentir sur les genoux de quelqu’un d’autre…


Ta dernière question, pourquoi j’ai accepté de répondre à ces questions si personnelles ? Je dirais… pourquoi pas ?"

Je retiens principalement que Sarah s'est élevée contre les lieux communs "écolières en jupette" si fréquents dans le spanking world anglophone, prouvant aussi par la même occasion qu'une vraie femme peut passer la trentaine et vivre aussi son fantasme dans ce monde pro où tout est d'ordinaire très scripté et convenu.

J'espère sincèrement à la lire qu'elle pourra proposer à ses lecteurs des choses différentes de celles vues cent fois sur le net, aussi bien au niveau des scénarios que de la mise en image et elle en prend le chemin... Je ne suis pas particulièrement branché par les sites payants d'ordinaire, justement parce que les productions se ressemblent toutes, mais qui sait si Sarah ne me fera pas mentir ?

Et qui sait si je ne finirai pas par apparaître dans une production SpankingSarah dans le rôle du fesseur français ? Nous trouvons que les Anglaises ont une voix terriblement sexy quand elles parlent dans notre langue, mais l'inverse est vrai: un Frenchie causant in english, c'est très excitant et exotique pour nos bonnes amies britanniques...

31 mai 2007

Les Anglaises ont-elles le feu au cul ?..

276 - "Femmes sauvages"...

Un instructif sondage réalisé pour "The Sun" le mois dernier en Grande-Bretagne - portant sur un échantillon représentatif de 12 000 femmes entre 20 et 50 ans - révèle chez elles d’intéressants goûts en matière de désirs, de fantasmes et de jeux sexuels.

- Près des deux tiers des Anglaises interrogées se disent attirées par les amours de groupe. Le triolisme tient la corde, principalement deux garçons avec la fille, plus rarement l’inverse… Ah, les gourmandes ! Et si le mélangisme, voire l’échangisme les inspirent, un quart rêve même de tenir le premier rôle d'un film "érotique"... ou même ouvertement porno !

- 12% fantasment énormément sur l’idée de se voir enlevées, retenues prisonnières avant de subir des relations sexuelles qui leur seraient imposées par la force ! (Mais elles ne confondent pas avec la réalité des choses toutefois… On parle là de "pur fantasme", pas de traumatismes et je suppose que celles qui "en rêvent" ne l’ont heureusement certainement jamais subi en vrai !)

- Une fille sur cinq est très attirée par de petits jeux entre filles, et plus amusant encore, il y a un pourcentage non négligeable de demoiselles qui avouent même fantasmer sur des plaisirs lesbiens au cours de leurs ébats sexuels… avec leur mari ou compagnon !

- Mais je garde le meilleur pour la fin: un bon tiers (Putain, une sur trois ! Je file vivre à Londres...) de ces dames prétend "ne pas être contre l’idée de se voir administrer une bonne fessée de temps à autre" pour pimenter leur libido. Heureux Anglais…

- Ceux qu’elles imaginent leur faire subir ces sévices, parmi un choix d’acteurs Hollywoodiens ? Personne ne s’étonnera de leurs choix conventionnels et attendus… Brad Pitt est encore et toujours celui qui suscite le plus de fantasmes de ce style, suivi du capitaine Jack Sparr… euh de Johnny Depp. Leur troisième choix le nouveau Bond, le viril Daniel Craig. Du solide, du classique aussi.

- Côté filles tenant les premiers rôles, Angelina Jolie (Madame Pitt, comme par hasard) est la femme la plus convoitée ensuite par d'autres jeunes filles.

Ensuite viennent Fearne Cotton (présentatrice TV) et Kate Moss. Cette dernière qui a embrassé l'année dernière à pleine bouche l'héritière Jemima Khan lors d'un gala de charité en lui pelotant les fesses (les photos ont fait le tour des tabloïds) a réveillé la libido de pas mal de jeunes Anglaises pour qui toutes ces choses interdites ne semblent plus être source de gêne ou de culpabilité comme par le passé.

Et c'est tant mieux.

La sexologue Val Sampson qui analyse ce curieux sondage (à quand le même dans les pages centrales du Figaro Madame ?) conclue toutefois par une mise en garde:
"Attention, notre imaginaire sexuel nous est propre et fait part intégrante de ce que nous sommes vraiment au fond…. Révéler ses fantasmes au su de tous contribue à se découvrir dangereusement, ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose. Une part importante de mystère et de secret dans ce domaine est indispensable…"


Fallait que ce soit dit ! (Gillian, ma première copine "sérieuse" quand je vivais dans sa maison de Brighton chez sa mère qui logeait les étudiants étrangers dont je faisais partie, était Anglaise... J'ai dû rater un épisode...)

08 juillet 2011

Un été drôlement studieux !

2414 - "Remember Gill..."

Vieille image extraite d'une revue anglaise des années 60 qui n'offre guère d'intérêt, sauf si on sait que ma première girlfriend portait précisément ce prénom, que c'est elle qui m’initia aux plaisirs de la chair d'une façon non-expurgée et que sa mère, l'accorte Mrs Kidd, lui flanquait à elle et ses sœurs des fessées "règlements de comptes de la semaine" carabinées, le samedi soir à Brighton, en ce bel été de 72...

"Quand Gillian est surprise à flirter avec des garçons à l’arrêt d'autobus, la fessée est la seule manière apte à la recadrer !"

12 avril 2010

All about Eve ?

1622 - Le travail graphique de la Britannique Eve Poland est coloré et "kinky" ("pervers").

De chouettes petites bonnes femmes peintes à l'acrylique, plutôt dominantes...

C'est une peinture naïve de traitement, moins par le sujet choisi.
 
Eve vit à Brighton, ville anglaise qui me cause drôlement et qui fut le théâtre de mes premières amours "live" il y a près de... Putain, longtemps... Bref dépucelage comme dans le film de Michel Lang "avec des vrais morceaux de sexe dedans".

... Comme j'ai déjà eu l'occasion d'en parler ici de temps à autre.

Il doit y avoir un nid, dans le coin.

Dessins © Eve Poland

08 février 2008

Tu sens le poisson, toi !

506 - La télé-réalité, hein...

On fait n'importe quoi pour passer à la télé. Le fameux adage d'Andy Warhol. Chacun aura droit à ses quinze minutes de célébrité devant la caméra...

La jeune Lindy participe à un jeu débile, sous la houlette d'une animatrice blonde hystérique, laquelle lui fait choisir entre deux poissons qui serviront à lui claquer le baigneur. Ensuite, la jeune femme a cinq minutes pour demander et obtenir de cinq personnes prises au hasard dans la rue... de lui donner la fessée avec une sole meunière...

C'est n'importe quoi, mais la présence de la caméra permet tout et les gens ne s'étonnent même plus, blasés qu'ils sont à force de voir tant de conneries en boucle sur les écrans depuis des années... Miss Lindy va aisément réussir le pari et gagner les... 100 £ proposées comme enjeu, pour se ridiculiser à jamais devant des millions de téléspectateurs....

Tout juste de courtes hésitations d'hommes, ravis ensuite de l'aubaine et le refus catégorique d'une vieille dame de participer à cette ineptie, avant que sa voisine, tout aussi âgée mais comprenant qu'il s'agir d'un jeu avec de l'argent à la clé n'accepte à sa place... Et hop, elle applique de bon coeur quelques coups de poisson mort sur les fesses de la candidate, protégées par une affreuse culotte rose bonbon...

Ça se passe probablement à Brighton (où j'ai vécu quelques mois, il y a une éternité) ou dans une de ces stations balnéaires du sud de l'Angleterre.

À mon époque, il est clair que peu de jeunes Anglaises acceptaient de recevoir la fessée en pleine rue... À la maison, par contre...

"Ô tempora, ô mores !"

26 avril 2009

"Is it sex ?"

976 - Peut-être vous posez-vous de temps en temps la question existencielle de savoir si la fessée "c'est du sexe"...?

La série britannique Sugar Rush donne une part de réponse avec ce court extrait dans lequel la belle "milf" Anna initie la jeune Kim aux joies et troubles de l'éducation anglaise... Mais a stupidement oublié de mettre le verrou... Too bad !

Détail amusant, la série se passe à Brighton, ville où j'ai découvert mes premiers émois, dont certains liés aux fessées données par ma logeuse à ses pestes de filles en ma présence (gênée...) au tout début des années 70 lorsque j'ai passé plusieurs mois dans cette petite ville cotière du Sussex (ça ne s'invente pas...) pour parfaire mon apprentissage de la langue britannique.

Merci Maman...

Autant vous dire que j'ai bien progressé !



Extrait © Sugar Rush

10 février 2006

Lieux communs, noms propres... Ah, c'est du joli !

4 - Ah les lieux insolites…

C'est vrai que nos "envies" pressantes ont parfois besoin d’un cadre sortant de l’ordinaire pour vibrer, s’épanouir et que le corps (enfin en l’occurrence les fesses !) exulte…

Même si en l’espèce il est arrivé que la situation m’échappe ensuite totalement et que l’érotisme prenne le pas sur le punitif…

Alors pour rire, j’ai tenté un bref recensement, une petite liste non exhaustive d’endroits un peu intemporels où le temps s’est figé pour moi et diverses dames, sur plusieurs années, pour une ou plusieurs fessées…

Mes endroits.

Souvenirs de fin de siècle et de début du nouveau millénaire.

Ah… Comme cela n’a d’intérêt que si c'est authentique, je certifie les faits avérés et réels.

... Donc:

- Dans une clairière de forêt vosgienne, avec un troupeau de sangliers et de marcassins en goguette en dessous de l’abri en hauteur où nous étions dissimulés pour observer la faune, un soir d’automne, du côté de la Petite Pierre

- Dans le vignoble alsacien, au-dessus de Colmar un jour d’hiver et surtout de neige… (en pleine nuit après une ultime et dérisoire provocation de ma belle qui décidément en cherchait une bonne, nus comme des vers (brrr) sur le balcon de notre chambre au dernier étage d’un hôtel de Kaysersberg, Cnambard pour être exact !)

- Dans la chaleur d’un box d’écurie (non loin des chevaux placides mais quand même étonnés de la situation…) près d’Obersteinbach

- En montagne, sur un alpage suisse, au milieu des vaches et des tintements de cloches (encore des animaux pour témoins, sans doute mon côté «bestial »…rire), non loin de Neuchâtel, avec un témoin à jumelles que nous avons découvert ensuite... (voir détails dans le premier post)

- Sur une plage méditerranéenne isolée dans une crique de l’île de Bendor, au joli mois de Mai.

- La nuit suivante, dans le jardin d’une résidence de luxe où l’on nous avait prêté un appart pour une quinzaine.

- À Cabourg, devant le Grand Hôtel, sur la plage une nuit de février. (brrr)

- Dans la réserve d’une librairie de BD, en Belgique… (et je n’en dirai pas davantage...)

- Dans un parking public couvert, sous le PanthéonMarie courbée sur le capot et prestement déculottée pour quelques formidables claques qui ont amplement résonné. Et en dépit d'un petit couple qui arrivait au loin à l'autre bout. Panique...

- Dans la voiture, quelques instant plus tard le même jour au même endroit.

"Euh, on est mieux dans un lieu clos, hein?"
me chuchote une Marie honteuse juste comme il faut...


- Rue de Rennes un soir de 94, assez tard, et sous une porte cochère après avoir retiré la culotte de Marie, cherchée d'une main impérieuse sous la jupe fluide en pleine rue…

Peu de témoins, à vrai-dire, mais l'excitation de l'interdit et la peur d'être surpris en filigrane...

- Près d’un charmant petit lac mosellan avec des gens sur l’autre rive qui entendaient forcément, mais à priori ne voyaient rien…

Enfin je suppose...

- Près d’une ravissante chapelle déserte bretonne à quelques kilomètres de Perros-Guirec... où nous attendait patiemment mon meilleur ami et son épouse, pour un dîner un peu guindé.

- Dans les toilettes d’un avion (avec une hôtesse de l’air… Court ! Mais délicieux, en dépit du monde pas très loin…)

- Une nuit dans un cimetière non loin de Versailles… Pas longtemps (les fantômes, on sursaute au moindre bruit…) Il y a longtemps…

- Dans la cuisine d’un restaurant d’hôtel près de Biarritz, après y être redescendus longtemps après le service…

- Dans la tourelle d’un château en Alsace entre deux visites guidées…

- Dans une impressionnante abbaye de la vallée de Chevreuse, à Cernay un soir d’été avant le dîner dans un caveau.

- Dans la réserve d'un magasin de chaussures de luxe de l'avenue Victor Hugo, à Paris... Quand mon second meilleur ami en était le gérant et troussait pendant les horaires de travail ses petites vendeuses (bien consentantes et amusées par la chose. pendant que les clientes attendaient qu'elles remontent de la réserve) avant de les pénétrer d’une verge alerte et effrénée, voire parfois distraite (faut avouer...) au milieu des cartons de pompes... Le tout à la façon d'un grand mâle gorille honorant ses femelles admiratives regroupées autour de lui dans la jungle... (du XVIème arrondissement quand même)

- En 72, dans la maison de mes hôtes à Brighton, en Angleterre, devant un ennuyeux match de cricket, et avec une des trois filles de ma logeuse british, Gillian, qui m’initia à pas mal de nouveautés dans un domaine qui m’était jusqu’alors inconnu : premiers baisers, première baisée, premier clitoris... En clair, premières petites « saletés » forcément interdites par les bonnes mœurs. J’en passe et des plus gratinées… Believe me !

Gill (16 ans alors, comme moi) par ailleurs fessée par sa mère tous les samedis pour les fautes de la semaine écoulée, en compagnie de ses deux sœurs, dans un étonnant rituel, cérémonial probablement pervers mais non vécu comme tel. En clair, sulfureux pour moi mais convenu et admis par l’ensemble de la famille. J’y reviendrai dans un prochain post, « à moi les petites Anglaises ! » pour paraphraser Michel Lang qui dans son film narre des trucs identiques à ceux que j’ai vécu dans les années 70…


Du pain sur la planche et d’autres détails à venir, si la mémoire ne me fait pas défaut. Et pour vos commentaires, c'est open...

08 février 2006

Au fil du temps, une envie !

1 - Finalement c'est simple à mettre en place, un blog...

Et ce soir je "blogge" pour la première fois. En ce moment les choses bougent et mon esprit vagabonde. Depuis quelques jours j'ai envie de ce journal intime quasi-ado que je ressens comme un complément tendance, furieusement important pour moi pour avancer...

Mais dans quel sens au fond ? Tiens, histoire d'en rire... J'avais sur un site dédié un profil assez précis, un peu ciblé sans doute. Trop ? On y parlait fessée. Que voici un sujet délicat. Que j'ai tenté d'aborder avec délicatesse. La suite me dira si je me suis trompé ou non.

Et autant le remettre en place ici, même si d'aucun trouveront le truc un peu réducteur, c'est une profession de foi après tout...

Une présentation, donc. On aimera ou pas. C'est selon... Et sans importance aucune. Cette passion qui m'anime est un plus indéniable, mais chacun à son niveau "entendra" ou plutôt "lira" comme il veut.


Pour l'image ci-dessus, une vraie raison. Mon signe zodiacal. Je suis Lion, indéniablement. J'adore mordiller les lionnes dans le cou. Voire planter mes crocs de mâle un peu plus fort pour faire sentir ma possession effective davantage encore. Belle image. La vie des bêtes. Ma façon d'imaginer le plaisir... Entre autres jeux.

01. Pseudo :

Stanbd donc... avec BD à la fin. Ou Stan... Ou Stany... Ou encore Stanny. Bref c'est selon.

02. Pourquoi avoir choisi ce pseudo ?

Parce que je suis né dans une ville de Lorraine il y a euh… un certain temps, que Stanislas est le nom d'une place célèbre là-bas et parce que je suis auteur de BD. C’est aussi simple que ça.

03. Année de naissance :

En août...

04. Où vivez-vous? :

À l'est de Paris, France... Disneyland, ça vous va ?

05. Job :

Graphiste, illustrateur, créatif, scénariste, dessinateur de BD. Un mix de tout ça. Auteur quoi. Travail at home (pas toujours facile de se structurer et de se donner des horaires réguliers), selon les demandes.

06. "Et physiquement, t'es comment?" :

Présentable encore. Un métier artistique empêche de vieillir trop vite et de se prendre au sérieux. Pas de costume cravate. sauf pour les enterrements... Sinon, 1m82, 86 kg (tendance au yoyo, faut que je me surveille), les yeux verts. Souriant. Tous mes cheveux, châtain… Vous voulez ma photo ?

07. Depuis quand t'es branché fessée, cher Stan ?

Houla… Cousine Anne a été ma première «victime»… J’avais dix ans et elle huit… Pas de panique, c’était entre «enfants consentants». Elle s’en souvient sans doute encore maintenant tant d’années après alors qu’elle est devenue édile de sa petite ville et médecin renommé. À l’évocation de nos frasques lors d’une réunion de famille, et alors qu’on ne s’était pas croisés depuis des lustres, j’ai cru voir une lumière s’allumer dans ses yeux de femme respectable et BCBG… Sans que l'on ne se dise rien, contact et souvenirs ont afflués. Comme quoi…

Après ces premiers jeux interdits, où l'envie de jouer au maître d’école "domine" (en voilà un mot de circonstance !) car dans les années 60, on fessait ferme sans penser au politiquement correct, je n’ai plus arrêté de vivre avec cette zone de trouble volupté et de jeux... Oui, le côté ludique pour moi dans ce domaine est essentiel. Et à vrai-dire, le sens du ridicule et du fou-rire aussi, pour dédramatiser et ne pas se lancer dans des trucs compliqués de névrosés comme j’en ai croisé dans le SM pur et dur ! Pas ma tasse de thé. Restons dans l’EA (éducation anglaise)… Mais là, je m’égare !

Bref, un sujet récurrent dans ma vie au long des années... et des compagnes. Sans tourner à l’obsession chronique non plus, hein… Quand on vit bien les choses, pas de frustration sur le sujet de surcroît. Comme on dit : « j’ai déjà donné ». Et je compte bien poursuivre, sans m'arrêter là. Cela étant même si cela n'arrivait plus, j'ai suffisamment de jolis souvenirs à faire tourner en boucle... mais bon, l'onanisme ça va un temps...


08. Comment as-tu pris conscience de ce fantasme ?

Donc jeune. Avec la comtesse venue de Russie (Madame Sophie de Ségur, évidemment mais qui ne laissa jamais oublier qu'elle était née Rostopchine... et à Moscou) qui se mit à écrire des récits pour se distraire sans imaginer qu’elle deviendrait culte pour les amateurs de fessées, à l’instar d’une Chantal Goya dans la communauté gay.

09. Qui dans l'entourage (hors internet) connaît ce sulfureux fantasme ?

Mais TOUTES les femmes de ma vie… (sans exception, enfin je crois...)

10. Qu'est-ce que t'attire le plus dans la fessée ?

Euh... L’émotion, le trouble et l’indispensable honte… Sans nul doute mon éducation judéo chrétienne, (élevé chez les pères et sachant que les demoiselles élevées chez les soeurs sont elle-mêmes parfois des coquines ébouriffantes) avec la culture du péché et forcément de la contrition, de la confession, du repentir et enfin de la rédemption…

11. Et à l'inverse qu'est-ce qui te révulse dans la fessée ?

La contrainte réelle, non acceptée fondamentalement par la dame, sans complicité aucune, pour faire mal, sans intelligence ni respect. Finalement la même chose qui me révulse dans le viol…

12. Y'a-t-il un scénario particulier qui te fait grimper aux murs ?

Oh, il faut que ce soit mérité… Sinon, oui, des tonnes mais nous y reviendrons sans doute… C'est un truc qui se partage où la notion de complicité entre les deux semble primordiale et essentielle pour éviter ratages et fausses notes...

13. À quand remonte ta première fessée ?

Exceptons cousine Anne. Et Brighton. Où j’ai passé du temps (vers 72 et en Angleterre donc pour les mauvais en géo) dans un collège (classique et réel mais je n’ai pas subi personnellement les foudres du headmaster…) une famille où la mère pratiquait sur ses trois filles, croyez-moi, ça marque… Et puis je ne savais pas si je n’allais pas en recevoir moi-même… troublant. En fait la première sérieuse vers 21 ans avec Hélène, une petite amie qui m'avait trompé et confuse, honteuse, cherchait à se faire pardonner. Je lui ai donné l'occasion d'avoir honte dans un appart du XVème qu'une de ses amies nous avait prêté pour une semaine. Souvenir palpitant. Ensuite, les mauvaises fréquentations, l’engrenage… rire

14. Depuis lors, à quelle fréquence donnes-tu la fessée ?

C’est selon. Pas de régularité. Mieux vaut la qualité que la quantité. Non ?

15. Toujours avec la même partenaire ?

Non... En fait non. J'ai bon, là?

16. Quelle place occupe aujourd'hui la fessée dans ta vie ?

Ludique, rare, vibrante... essentielle, même si la vie réserve d’autres surprises. En tout cas, elle fait toujours battre mon cœur et met mes sens en éveil lorsque j’entends le mot prononcé par un ou une tiers…

Et le côté switch ne me fait pas peur. J'ai, je l'avoue sans détour, moi aussi éprouvé le "plaisir" dans les deux sens, et si j'ai choisi l'aspect fesseur de ma personnalité à 90%. Il reste néanmoins enfoui 10% du côté obscur... Qui permet de piger l'attente pour l'avoir vécu. Rare, mais transcendant. Faut juste avoir en face de soi l'adversaire adéquat, à la hauteur, celle (forcément une dame) qui peut d'un regard vous faire passer de l'autre côté du miroir, à votre tour... Baisser les yeux, le reste. et s'engloutir dans de délicieux enfers, inavouables ici. Voilà, c'est dit.

Et je n'en dirai pas davantage ici. J'ai une image à défendre, moi... Rire !


17. Déjà donné une fessée en public ? circonstances...

Non… pas réellement. Mais quelquefois dans la nature. Forêts, plage… La nuit ou le jour. Dans un train... Même dans un parking sous le Panthéon, un dimanche après-midi… (Tu t'en souviens, Marie ?) Dans des endroits que l’on croit déserts et qui ne le sont jamais vraiment tout à fait… (j'en parle par ailleurs dans ce blog... Cherchez plus haut)

Tiens entre autres, une fois en Suisse dans un coin paumé du Valais (ou était-ce du Vaud ?) nous montons, ma blonde et moi sur un alpage qui semble suffisamment isolé pour une fessée (méritée et attendue) bien retentissante sous les yeux blasés et lointains d’un troupeau de bovins ruminants tranquillement, pas pour un sou dérangés par la magnifique correction manuelle déculottée qui dure et claque dans le bon air des montagnes…

Ma blonde a les fesses écarlates, et la couleur ainsi que l’échauffement nous donnent suffisamment d’idées pour passer à des jeux de quadrupèdes un peu plus physique (quoi que ?)… Bref nous poursuivons en levrette, et passablement essoufflés par nos petites coquineries avec les rondes rondeurs de Madame Stanbd, redescendons un peu plus tard vers notre voiture garée seule en contrebas au début du sentier…

Ah ? Tiens non, un autre véhicule s ‘est arrêté depuis notre départ ! hum…

Juste pour nous rendre compte qu’un chasseur avec une belle paire de jumelles à longue focale redescend lui aussi, à une centaine de mètres de nous à même hauteur et sur un chemin parallèle… avec un bon sourire… et un amical signe de la main… La blonde a fortement rougi, écarlate du visage cette fois et nous en rions encore, des années plus tard. (presque 9 au fait...)


18. Position idéale ?

Sur les genoux de loin… Pas tellement pendant la sexualité, plutôt avant… ou après… sourire. C’est une fessée érotique et punitive qui emporte mon adhésion, sans oublier que c’est un jeu.

Même si pendant le jeu il convient d’oublier le côté ludique pour vivre le truc au mieux. Il sera temps d’en rire après… Quand même pas pendant.


19. Instrument idéal ?

Ben, la main… définitivement. Pour le contact direct, sans passer par le truchement d’un ustensile insensible qui ne me plaît pas. Mais de temps à autre, une cravache (j'aime le mot...) pour aller un peu plus loin que le "raisonnable"... Ce n'est pas fréquent mais ce fut essayé. Il y a quand même une de mes deux épouses légitimes (la première) qui m'a offert une cravache pour mon anniversaire. Comme je ne monte pas à cheval, cherchez l'erreur... Avec elle je m'en suis servi deux fois...

20. Lieu idéal ?

L’alcôve d’un hôtel chic où nous avons bien dîné et où la joute amoureuse qui suit résonne dans le silence sans laisser aux voisins de doutes sur ce qui se passe au 2… Ou au 15…

Oui, la blonde (ou la brune, hein, je ne suis pas sectaire. Ceci est un clin d'oeil pour une râleuse de mes amies qui me trouve un peu réducteur dans mes choix...) arrogante au port altier qui dînait avec son compagnon dans la salle à manger qui est fessée une fois la chambre regagnée en compagnie de ce même homme, devenu son seigneur et maître dans l’intimité retrouvée.

Un truc vécu et troublant (Entendons-nous bien…on ne parle pas là de réveiller tout l’hôtel, hein… Mais disons d’intriguer suffisamment les voisins pour:

1: Qu’ils reprennent le jeu de leur côté ! (et believe me, ça arrive plus souvent qu’on l’imagine !)

2: Pour que la blonde devienne écarlate et ait du mal à se trouver une contenance, avec l’air détaché, le lendemain matin au petit déjeuner…

En Normandie, des voisins un peu coincés, pourtant des jeunes, mais façon Versailles, ou cathos pratiquant (mais pas la fessée…dommage pour eux) l’ont une fois foudroyée du regard à son entrée dans la salle… quoi que la fille avait les yeux un peu trop brillants pour être honnête…

Ah… et cette petite sauterie, pas dans un Campanile, ni dans un Formule 1, hein les amis. Je vous en supplie… Nos jeux érotiques fonctionnent mieux dans une certaine qualité d’environnement pour un tas de raison… lieu de prédilection assez historique pour moi depuis des lustres: Grand Hôtel de Cabourg par exemple… Avec la mer en fond de décor...

Ou d'autres châteaux fort plaisants, Ermenonville, Brécourt, la Rapée, Artigny, regardez les guides "Châteaux et Hôtels de France" (pas si inabordables qu'on le pense sur le plan financier)


21. Moment idéal ?

Any time. C’est selon l’inspiration et la raison…

22. Tenue idéale de la dame ?

Oh, plutôt féminine, sans panoplie et en laissant le soin à la dame de choisir. En clair pas de tenues "imposées"... Je ne suis pas fétichiste et j’ai des images de jeans jetés au chevilles et de culotte enroulée au creux des genoux assez émouvantes. (pas « éprouvantes »…)

23. Conclusion idéale ?

Pas nécessairement du plaisir sexuel… C’est cérébralement assez fort de laisser la punie remonter sa culotte et de descendre prendre un verre comme si de rien n’était… Avec « copine » qui se tortille et se trémousse discrètement sur son siège comme avec une envie irrépressible de faire pipi… Sans que personne n’imagine que ses jolies fesses ont quitté la teinte albâtre qui les caractérisent d'ordinaire…

24. Fessées érotiques ou punitives ?

Bah, c’est selon l’inspiration… En fait dans ma vie réelle c’est souvent lié. Toutes les femmes « importantes », celles avec qui j’ai passé du temps de vie au delà du plaisir (en gros cinq dames...) ont peu ou prou éprouvé mes jeux "à l’anglaise".

Toutes y ont trouvé sur une échelle variable comme de juste, avec plus ou moins de réussite leur "petit bonheur de soumission enfouie", sainement révélé, sans artifice ni danger.

Mais au fond, les fessées pour voir avec inconnues moyennement motivées, juste "curieuses sans plus" ou même "complètement acquise à l’idée", mais sans la petite étincelle qui manque pour moi, bref les "one shot" c’est pas trop mon truc… Et ça, j'en suis intimement convaincu.

OK, c’est arrivé, mais je préfère tellement une complicité sur la durée, aux brefs instants avec des partenaires occasionnelles, qui ne laissent pas les souvenirs les plus aigus, à de rares exceptions près (en Belgique notamment, pas vrai Anneke d'Ypres?... Trop bien...)


25. Prévues à l'avance ou improvisées ?

Et là aussi pas de recette. Mais le cœur bat plus vite quand ça arrive par surprise.

26. Après une fessée, faut-il envoyer la dame au coin ?

Question de feeling et de scénario. Ce n’est pas systématique de toute façon. C’est un jeu précis dans lequel chacun a des demandes et il convient de s’accorder sur le même feeling, en tout cas pouvoir ressentir ce qu’attend l’autre en permanence pour ne pas rater l’instant… et que tout le monde soit content… enfin « tout le monde », les deux, je veux dire…

27. Fesser... est-ce une fin en soi ou un élément dans un ensemble de pratiques ? Lesquelles ?

Un élément trouble et érotique, constamment en filigrane dans le mental et les jeux. Mais ceux qui m'ont lu jusque-là l’ont compris je suppose?

28. Passions, hobbys:

Tout ce qui touche aux sport mécaniques… Ancien journaliste moto et auto, je suis resté passionné par tout ce qui a un moteur, qui fait du bruit et qui va vite. Un peu de karting à mon niveau, c’est-à-dire très peu rapide après l’avoir été… Question d’âge?

29. Groupes ou chanteurs favoris:

Alors là... Fleetwood Mac, Kansas, Chicago, Who, Bee Gees, America, Supertramp, Gun’s and Roses, Alabama, Stones, Beatles et T.Rex pour les anciens…

Plus récemment the Coors, Good Charlotte, Green Day, Evanescence, Roxette, Aerosmith, Oasis, Scissors Sisters, Coldplay, Kyo… et les L5 (non ça c’est une blague… rire… même pour fesser ces insupportables petites jeunes filles)

Un peu pêle-mêle, Chris Rea, Bon Jovi… James Blunt, Alanis Morissette, Carly Simon, Umberto Tozzi, Bob Dylan, Joe Dassin, Joe Cocker, Cat Stevens, Avril Lavigne, Marc Lavoine (que je découvre depuis "le cœur des hommes"), Roy Orbison, Bob Dylan, Beth Gibbons (depuis "les poupées russes") Jim Croce, Enya, Dido, Nilsson, Percy Sledge, Ben E King, Serge Gainsbourg, Johnny, Jean-Louis Aubert, Raphaël...

... et tant et tant d’autres qui rythment mes souvenirs et mes émotions.

Comme pour vous je suppose, telle chanson me rappelle tel événement, etc… Elton John, il y a 30 ans, Robbie Williams aujourd’hui… "Sin, sin, sin…"


30. Albums favoris:

Euh... Let it be, Odessa, Tommy, Captain Fantastic, Blonde on Blonde, Escapology… Peu ou prou ceux des chanteurs (liste non exhaustive) cités ci-dessus.

31. Chanteuse que tu adorerais fesser:

Rire… Lorie ? Les trois chanteuses country de Dixie Chicks… (en même temps ?) Je sais pas, c’est quand même un peu abstrait.

32. Réalisateurs favoris:

SpielbergSergio Leone, Dominik Moll, Scorsese, Ridley Scott, JP Jeunet, Yvan Attal dont j’aime les deux films sans conditions… Mais la liste est longue et c’est vraiment comme ils viennent…

33. Films favoris :

« Vol au-dessus d’un nid de coucou »« Il était une fois dans l’Ouest »« Coup de foudre à Notting Hill » pour le romantisme et la naïveté du personnage… et « le Père Noël est une ordure », film culte vu et revu des dizaines de fois…

34. Actrice à fesser :

En ce moment ? Tea Leoni, Naomi Watts (tiens des blondes…) Karin Viard, Valeria Bruni-Tedeschi, évidemment Sophie Marceau et surtout Mathilde Seigner

35. Écrivains favoris :

Maupassant… né le même jour que moi, bien avant moi. Zola… et tellement d’autres.


36. Romans favoris :

« Le tunnel »… un livre bouleversant sur les camps de concentration…

37. Personnage de roman à fesser :

Scarlett O’Hara évidemment… Cécile de Volanges, et plus près de nous, Bridget Jones.

38. Peintres favoris :

Euh… Là, je suis nul, désolé. Pourtant, je devrais savoir mais mes années d’histoire de l’art me sont un peu passées un peu au-dessus. Si, tiens… Toulouse-Lautrec

39. Sculpteurs favoris :

Rodin, pour le baiser... C’est d’un classicisme…Au secours ! J'ai un peu honte. Mais j’aime.

40. Cinq mots pour décrire ta personnalité :

Agaçant, naïf, attachant, égoïste et... altruiste ! (si, je vous assure, c’est possible d’être les deux !)

41. Tes phobies :

Oh, les cons, d’emblée (quel que soit leur sexe). Et puis, je suis sujet non au vertige, mais à une peur panique du vide et de voir quelqu’un tomber du haut d’une falaise. Pourtant j’ai de beaux souvenirs à Étretat…

42. Tes névroses :

Peur de mal faire, de ne pas séduire, de rater ma vie (là ça s’atténue avec l’âge quand même…) En fait je ne suis jamais satisfait de mon travail artistique, au risque de me dénigrer en permanence… Et chez moi, travail, vie privée, tout est intimement lié…

43. Tes obsessions :

La fessée est sûrement la plus criante. Mais on pourrait trouver plein d’autres choses. Les obsessions ne sont pas toujours sexuées. Ni sexuelles.

44. Ta plus grande qualité :

La gentillesse et l’attention… (quand j’aime)

45. Ton pire défaut :

Entier et impulsif, je dis toujours ce que je pense… parfois (souvent en fait) mal à propos. Mais on ne me changera plus à mon âge... Qu'on aime ou pas, je m'en fiche pas mal...

46. Quelle serait la plus belle chose que l'on puisse te dire ?

De la part d’une fille que j’ai aimée : « C’est toi qui m’a permis de devenir ce que je suis… On ne se voit plus mais malgré toutes ces années, je ne t’ai pas oublié… »

47. Quelle serait la pire chose que l'on puisse te dire :

Exactement la même chose mais en me le reprochant… rire. C’est l’autre versant, côté ratage.

48. Portrait physique et/ou moral de la femme de tes rêves :

Oh, une belle âme… Mais un corps pulpeux, et élancé ce qui n’est pas incompatible là encore… Sensuelle, imaginative, un brin perverse, mais naïve quand il convient. Ingénue et intelligente, cultivée et imaginative. Plutôt grande. Des yeux expressifs et un regard tendre. Physiquement, j’ai des idées, mais moralement c’est plus complexe que l’on pense et il y a plein de choses tout à fait impossible à expliquer…

49. Portrait physique et/ou moral de la femme de tes pires cauchemars :

… rien à en dire.

50. La question que t'aurais aimé que l'on te pose, Stany? :

« On peut se voir en privé ? j’ai un album de vous que je voudrais bien faire dédicacer… » avec la voix de Jessica Rabbit.


Voilà...

À la réflexion, c'est un peu l'histoire de ma vie. Enfin d'une toute petite (quoi que...) part de ma vie, assez essentielle au fond... Je vous laisse réfléchir là-dessus ?

Mais pas trop longtemps quand même, hein...

PS: le dessin qui ouvre ce long post est une huile non terminée dûe au talentueux Waldo, dont vous trouverez certaines oeuvres du même acabit et pas mal d'autres choses émoustillantes sur son site Azotainas Éroticas. (voir rubrique "liens"...)