31 mai 2007

À qui le tour ?

277 - Une pub Sisley, (une filiale de Benetton, spécialiste de la photo provoc) issue du courant "porno chic" et datant de 2000... L'inversion du jeu, j'en connais une ou deux que ça devrait faire sourire. La photo est probablement de Terry Richardson qui en fit pour eux pas mal d'autres que vous irez voir ici.

"La vague dite "Porno Chic" fut principalement lancée et exploitée en France par l'industrie du luxe, et plus particulièrement par les maisons de Haute Couture, lors des saisons 2000-2001...

Le "porno chic" n’est pas franchement un courant novateur, il s’inspire juste de ce que les grands photographes ont entrepris il y a déjà plus de quinze ans. Son origine date plus précisément du moment où les maisons de Haute Couture ont décidé de confier leurs campagnes publicitaires à leurs créateurs, et non plus à des agences de publicité.

La publicité a alors récupéré ses codes subversifs pour séduire une clientèle plus jeune et plus diversifiée.

L’intérêt réside surtout dans la polémique qu’elle soulève ensuite, non seulement parmi le grand public mais aussi au sein du monde publicitaire.

L’utilisation de la sexualité dans la publicité n’est pas un phénomène récent, mais la nouveauté dans le courant "Porno Chic" se révèle dans la présentation complètement érotisée de la femme, dans les positions très suggestives, dans l’esthétisme parfait et très étudié de la photographie.

C’est d’ailleurs pour cette raison que le mot "chic" a été ajouté au terme "porno".

Cette vague est également novatrice dans le sens où elle a affiché et mis en exergue les derniers tabous liés à la sexualité dans notre société: onanisme, homosexualité, mais aussi sado-masochisme et zoophilie… tout peut être suggéré.

Ces publicités ont été diffusées dans des magazines aussi bien féminins que masculins, offrant ainsi à la vue de tout-un-chacun des images qui devraient à priori être réservées à un public averti."

extrait d'une étude sur le milieu publicitaire.

Les Anglaises ont-elles le feu au cul ?..

276 - "Femmes sauvages"...

Un instructif sondage réalisé pour "The Sun" le mois dernier en Grande-Bretagne - portant sur un échantillon représentatif de 12 000 femmes entre 20 et 50 ans - révèle chez elles d’intéressants goûts en matière de désirs, de fantasmes et de jeux sexuels.

- Près des deux tiers des Anglaises interrogées se disent attirées par les amours de groupe. Le triolisme tient la corde, principalement deux garçons avec la fille, plus rarement l’inverse… Ah, les gourmandes ! Et si le mélangisme, voire l’échangisme les inspirent, un quart rêve même de tenir le premier rôle d'un film "érotique"... ou même ouvertement porno !

- 12% fantasment énormément sur l’idée de se voir enlevées, retenues prisonnières avant de subir des relations sexuelles qui leur seraient imposées par la force ! (Mais elles ne confondent pas avec la réalité des choses toutefois… On parle là de "pur fantasme", pas de traumatismes et je suppose que celles qui "en rêvent" ne l’ont heureusement certainement jamais subi en vrai !)

- Une fille sur cinq est très attirée par de petits jeux entre filles, et plus amusant encore, il y a un pourcentage non négligeable de demoiselles qui avouent même fantasmer sur des plaisirs lesbiens au cours de leurs ébats sexuels… avec leur mari ou compagnon !

- Mais je garde le meilleur pour la fin: un bon tiers (Putain, une sur trois ! Je file vivre à Londres...) de ces dames prétend "ne pas être contre l’idée de se voir administrer une bonne fessée de temps à autre" pour pimenter leur libido. Heureux Anglais…

- Ceux qu’elles imaginent leur faire subir ces sévices, parmi un choix d’acteurs Hollywoodiens ? Personne ne s’étonnera de leurs choix conventionnels et attendus… Brad Pitt est encore et toujours celui qui suscite le plus de fantasmes de ce style, suivi du capitaine Jack Sparr… euh de Johnny Depp. Leur troisième choix le nouveau Bond, le viril Daniel Craig. Du solide, du classique aussi.

- Côté filles tenant les premiers rôles, Angelina Jolie (Madame Pitt, comme par hasard) est la femme la plus convoitée ensuite par d'autres jeunes filles.

Ensuite viennent Fearne Cotton (présentatrice TV) et Kate Moss. Cette dernière qui a embrassé l'année dernière à pleine bouche l'héritière Jemima Khan lors d'un gala de charité en lui pelotant les fesses (les photos ont fait le tour des tabloïds) a réveillé la libido de pas mal de jeunes Anglaises pour qui toutes ces choses interdites ne semblent plus être source de gêne ou de culpabilité comme par le passé.

Et c'est tant mieux.

La sexologue Val Sampson qui analyse ce curieux sondage (à quand le même dans les pages centrales du Figaro Madame ?) conclue toutefois par une mise en garde:
"Attention, notre imaginaire sexuel nous est propre et fait part intégrante de ce que nous sommes vraiment au fond…. Révéler ses fantasmes au su de tous contribue à se découvrir dangereusement, ce qui n’est pas nécessairement une bonne chose. Une part importante de mystère et de secret dans ce domaine est indispensable…"


Fallait que ce soit dit ! (Gillian, ma première copine "sérieuse" quand je vivais dans sa maison de Brighton chez sa mère qui logeait les étudiants étrangers dont je faisais partie, était Anglaise... J'ai dû rater un épisode...)

30 mai 2007

Incandescente et impudique Marie-B.

275 - Il la lui avait promise au téléphone, histoire de commencer avant l’heure à faire monter la pression, autant pour elle que pour lui, d’ailleurs. De l’autre côté du combiné, un silence et puis la voix de sa belle amoureuse qui reprend sur tout à fait autre chose, avec un ton un peu trop enjoué. À peine un imperceptible temps d’arrêt pour encaisser l’image, intégrer le trouble et commencer à frémir… Oui, aucun doute, Marie-B. est frémissante quand elle raccroche.

Une bonne fessée ?

Donnée comme ça, sans préambule ni entrée en matière, sans câlins malgré les semaines d’absence sans se voir ? Pour le plaisir, sans aucun motif ? Le plus surprenant est qu’elle en mouille déjà sans se contrôler. Ça l’agace de se sentir glisser… Elle regarde le téléphone à présent muet sur lequel elle vient de reposer un combiné encore tiède (elle pense avec un sourire: "brûlant") de l’heure passée à se parler.

Une fessée ! À elle, si fière, qui n’aurait jamais imaginé pouvoir poser un temps ses valises de "pasionaria féministe" pour se retrouver déculottée à un peu plus de 30 ans en travers des genoux de cet homme guère plus âgé qu'elle, dans une posture d’abandon et de honte, qui la fait plonger à chaque fois en piquant un fard dans les délices de ses enfers, la rendant un temps si profondément soumise dans son âme et son corps, l’écarlate aux joues…

Marie-B. adore ça. De lui. Et de personne d'autre !

Une bonne fessée ?

Il reste trois jours. Trois jours à ne penser qu’à ça, avant de le retrouver à l’arrivée du TGV dans cette gare lyonnaise qui constitue leur point de rencontre, avant de poursuivre ensemble, et dans sa petite voiture, leur voyage vers le Midi…

Ce n'est pas leur première fois, un an et demi déjà qu'ils se voient ainsi par parenthèses denses, de loin en loin...

Marie-B. a envie de ses doigts, de sa bouche, de sa queue tendue, mais aussi de son regard, de ses yeux tendres et de ce sourire moqueur qui accompagne les mots crus qu’il aime tant à lui susurrer au coin de l’oreille, pour la faire frémir et serrer ses fesses... Avant de la contraindre tendrement, mais fermement à les lui offrir comme un fruit, les mains de chaque côté des globes dans la posture la plus inconvenante qui soit !

Une forme d’acceptation supplémentaire que de le laisser se vider dans ses reins, "honorant" littéralement sa croupe flamboyante de sa semence de mâle, comme elle le réclame elle-même dans une incandescente impudeur qui augmente d’intensité à chacune de leurs trop rares retrouvailles. Elle qui ne supportait même pas l’idée ne serait-ce que d’un doigt "là" !

Marie-B. totalement réfractaire au thermomètre toute son enfance, luttant pied à pied avec ses parents, tentant pour les apitoyer de longs plaidoyers anti-anal pour éviter qu’on lui prenne la température dans son cul, même en cas de fièvre évidente, malgré un front aussi brûlant que le sont désormais ses fesses avec lui et par le truchement de ses mains lorsqu’ils se redécouvrent…

Une bonne fessée ?

Il reste deux jours. Elle sait déjà comment elle sera habillée. Dessus, dessous. Mais elle prend garde à ne pas trop imaginer les choses à venir, pour garder intact le plaisir hoquetant de leur premier corps à corps de cette semaine qu’ils vont passer ensemble dans cet appartement au bord de la mer, loin de tous, des autres, de leurs vies respectives. Sauf qu’elle est libre, elle. Trop…

D’un revers de main, Marie-B. écarte les pensées qui la traversent une seconde… Pas question de rater quoi que ce soit. Pas de malentendu entre elle et son amant, elle prend bien garde depuis le début de leur relation à ne pas se laisser aller à des curiosités sur ce qu'il fait de "sa vie sans elle", interrogations légitimes qui pourtant la rongent, mais qu’elle refoule, ne voulant jouir que de ce qu’il lui offre quand il est avec elle. Ce serait trop bête, trop injuste de tout gâcher.

Son autre vie, elle met un point d’honneur à ne pas l’évoquer, à lui faire comprendre que ça ne la concerne pas, sachant qu’il n’est vraiment qu’à elle quand ils sont ensemble, ce qui pour le moment est l’essentiel. Elle vit au jour le jour, sachant depuis le premier instant que chaque seconde, chaque heure volée est un bonus qu’elle n’espérait pas.

Une bonne fessée ?

Il reste un jour. Elle a fait sa valise. Fouille dedans une énième fois pour vérifier qu’elle n’a rien oublié. Dans une heure, elle descendra la mettre dans le coffre, que tout soit prêt. Marie-B. se sent belle et son cœur palpite. Trois mois qu’ils ne se sont vus. Leur dernière escapade en Alsace durant quatre jours reste encore gravée dans sa mémoire. Leurs jeux érotiques, leurs troubles respectifs...

Ses fesses, qu’il avait prises et reprises, fouaillées et rendues cramoisies en palpitent de désir, comme si elle était faite de ces métaux à mémoire qui gardent la forme qu’on leur donne, en souvenir. Agaçant réflexe, faiblesse à ses yeux, attitude impossible à maîtriser de chien de Pavlov

"De chienne, même !" sourit-elle. Un mot qu’elle déteste hors du contexte. Mais qu’elle se surprend à apprécier lorsqu’il faut hurler à la lune, le sexe brûlant de son homme fiché dans son ventre, dans cette posture animale qu’elle affectionne tant…

Une bonne fessée ?

Reste moins d'une heure. Son train a quitté Paris il y a déjà 67 minutes, d'après ses calculs. Marie-B. regarde l'aiguille de sa montre se déplacer lentement, trop, et décompte chaque minute... Si le TGV ne déraille pas, si l'horaire est respecté, l'homme qu'elle attend sera à elle pour une semaine. Dans moins d'une heure... Une semaine...

Une bonne fessée ?

Lui dans le train a le coeur battant à l'idée de la revoir. Cette fille, c'est sa fugue occasionnelle, sa zone interdite, sa liberté, son amante secrète, son hypocrisie d'homme aussi... Une part de lui.

Et en bon mâle à deux vies qu'il est devenu par la force des choses - lui si entier et qui déteste ça chez les autres - il est à présent tout à la joie de retrouver sa femelle, sa moitié, et déjà projeté dans les plaisirs à venir.

Il sait par avance qu'il va profiter de chaque seconde passée avec elle sans une once de culpabilité...
Après tout, elle est d'accord, Marie-B....

(à suivre)

29 mai 2007

Mes étoiles filantes...

274 - Mes "étoiles filantes" s'appellent Clara. Ou Lionnette, ou encore Isabelle, Mademoiselle Q... Et quelques autres. Pseudos de femmes de tout âge que le sujet passionne, ou au moins interpelle. Pratiquantes ou non. Voire venues "par hasard" (si, ça arrive !), ou bien délibérément "attirées". (En un mot, ne riez pas...)

Curiosité "malsaine" de filles politiquement incorrectes se laissant dériver dans les méandres de fantasmes vanilles ou SM soft enfouis, à présent crûment révélés à la lecture du blog ? Ou nageant au contraire depuis longtemps avec aisance dans les eaux troubles de leurs désirs récurrents, vécus et affirmés ?

Non, je ne sais toujours pas avec certitude ce qui les amène ni quelles sont les motivations de mes visiteuses. Et peu importe !

Mais assurément, elles sont intéressées par le sujet que j'aborde dans mes pages. Ou plus rarement, par celui qui les écrit... ("Stan", personnage virtuel qu'elles ont pu "suivre" aussi sur les forums où je sévissais avant... Et où je ne vais plus que de temps en temps anonymement pour survoler les sujets)

Ensuite, qui sait ?

Pendant un temps plus ou moins long - quelques heures, quelques semaines, quelques mois - mes "étoiles" sont omniprésentes, squattent les commentaires avec fougue, dissertent chaque post heure par heure avec d'agréables petits sous-entendus coquins, arguant de leur complicité avec moi. On ne voit qu'elles. Elles attirent l'attention, font comprendre qu'il y a un lien privilégié entre elles et le blogueur, rebondissent allégoriquement de messages en messages pour apporter leur "petite touche perso", leur inévitable grain de sel ou/et leur attirante séduction virtuelle.

Ma boîte à malices reçoit d'amusants messages, mails tendres, déjà complices ou intrigants selon l'humeur, des photos partielles de telle ou telle comme un puzzle, parties de femme façon "jeu de piste"... Toujours drôle et surprenant, jamais vulgaire ni graveleux. Tendrement féminin, quoi. Bravo les filles. Il arrive même que l'on se parle. MSN et Skype ont des vertus d'excitation jouissivement apaisantes...

Et puis plus rien. Disparition. Le silence, après des semaines de présence quotidienne. Parfois évident, parfois surprenant et inattendu. Une corde qui se rompt, plus d'envie(s), charme enfui, masque tombé ?

Brûler ce qu'on a adoré ? Où alors chercher un bon extincteur pour éteindre ce foutu feu qui s'est rallumé, à force de trop souffler sur les braises ?

Certaines partent sciemment vers d'autres lieux, pour continuer de disserter sans fin sur le sexe des anges devant un public moins moqueur et plus acquit, ayant vu les limites de mon cynisme... D'autres se lassent et ne donnent plus signe de vie du jour au lendemain, même s'il leur arrive de revenir lire. Ou jamais, comme si elles étaient mortes !

D'autres encore, déçues, sentant bien qu'elles ont fait le tour du personnage et que le charme est rompu, me l'écrivent pour enfoncer le clou dans d'interminables diatribes unilatérales sans fin, histoire de couper pour de bon ce fil ténu qui nous reliait, sans toujours pouvoir réellement s'expliquer le pourquoi du comment...

D'autres enfin se sont fourvoyées et découvrent avec horreur confuse qu'au fond, le sujet les fait fuir ! Mais ça, c'est plus rare...

En toute chose il faut une fin, puisqu'il y eut un début. Oui, certaines disparitions me peinent, évidemment... Et puis le temps passe.

Le blog continue "indifféremment" son petit bonhomme de chemin dans nos sentiers interdits qui sentent si bon la noisette. Sans "elles". Avec d'autres... Car comme la mer ramène inlassablement de nouvelles vagues sur le rivage, il en vient toujours... Heureusement.

Je n'écris pour personne en particulier. Ce blog qui ne me rapporte rien d'autre que le plaisir de le faire est un "banal" journal de bord, rédigé au gré de mes envies, de mes souvenirs.... Mais pour MOI avant tout. Il ne faut pas prendre au sérieux ce que je raconte dans mes petits messages, qui ne sont jamais qu'un des reflets de ma personnalité. Juste une toute petite facette...

"Putains d'étoiles filantes !"


Va m'falloir un sacré putain d'télescope pour les choper !

L'art des Italiens fesseurs...

273 - La mansarda di Miele. (Miele est une héroïne de papier, un personnage créé par Milo Manara...) Ce site italien, vraie mine d'or regroupe diverses oeuvres dessinées des grands auteurs transalpins "spécialistes de l'érotisme" que j'ai déjà évoqués ici, les Manara, Serpieri et autres Crepax...

On y trouvera entre autres - et en cherchant un peu parmi les innombrables dessins en ligne - l'intégrale des dessins de l'Art de la fessée, dont je vous remémore ici quelques images...

28 mai 2007

Le docker a la main lourde...

272 - Allons, dans la série "revival", je vous propose quelques images de la bande dessinée Oh, Wicked Wanda ! datant d'un moment déjà, et parues dans les années 70 dans la revue Penthouse...

Je les ai re-trouvées ici, sur le site d'un certain Richard Windsor (quel pseudo, la Reine doit s'en retourner !) qui en "publie" certaines des plus axées "fessée", pour notre plus grand plaisir visuel...

J'ai traduit une de celles qui m'amuse le plus, vous savez que les fessées F/F ne sont pas pour me déplaire...

Cet Anglais au physique discret de docker cockney à rouflaquettes et aux mains larges comme des enclumes claque les postérieurs des filles de "Punished Brats" avec entrain. Poor Pixie !

Mais ne vous fiez pas à cet aspect rustique, son blog est bien fait et contient de très jolies photos inédites ainsi que toute une série d'images autour du thème de la "mégère apprivoisée"...

À les voir, nul doute possible: Shakespeare fessait aussi, sans l'ombre d'une hésitation !

PS: "Oh, Wicked Wanda !" est une BD publiée dans les années 70 (entre 1969 et 1980, très exactement) dans le magazine de cul chic Penthouse, basée sur une nouvelle de Fred Mullally illustrée par Ron Embleton.

Wanda, jeune héritière enfermée par son père banquier dans un château près du lac de Zurich, décide de prendre sa revanche sur les hommes à l'aide de sa jeune complice Candyfloss.

Mêlant adroitement érotisme, humour, caricatures et satire politique, leurs aventures les mèneront à se confronter à toutes les personnalités de l'époque, telles que Fidel Castro, Marlon Brando, Ronald Reagan, Frank Sinatra et même Mickey Mouse.

PS - 02/06/07: l'ami Waldo nous apprend dans un commentaire sur ce post qu'il aurait à l'époque pu succéder à Embleton dans les pages de Penthouse. Les aléas de la profession en ont décidé autrement et c'est bien dommage... Pourquoi pas refaire une BD à présent, d'ailleurs ?

"J'adore Ron Embleton, pour qui j'ai une grande admiration depuis cette BD, seul travail que je connaisse de lui, au demeurant. Quand il est décédé, dans les années 90, j'ai été contacté par "Penthouse" édition française, qui ne me proposait pas moins que de lui succéder, avec un joli cachet à la clé... Il ne s'agissait évidemment pas de continuer la série Wanda, mais de faire quelque chose dans le même esprit, et avec une technique érotico-humoristique que je pratiquais assez bien.

Et puis, la direction a préféré acheter les droits dérisoires d'une BD de merde américaine, et le projet est tombé à l'eau, après que j'aie tout de même réalisé plusieurs planches d'essai qui ne m'ont jamais été payées..."

Et Sydne testa la sculacciata...

271 - Une petite vidéo que je vous recommande, extraite d'un film avec la délicieuse Sydne Rome...

Bon, je ne sais pas encore d'où est extraite cette scène plutôt osée pour le cinéma d'alors, mais je vais vous trouver ça, après quelques investigations sur la carrière cinématographique (et plutôt courte) de la délicieuse demoiselle.

(c'est fait, il s'agit donc d'un film italien (inconnu en France ?) datant de 1974, "la sculacciata" de Pasquale Festa Campanile, une de ces comédies sexy idiotes façon "Malicia" dont nous inondèrent les transalpins en ces années 70...

Vague prétexte pour montrer un tas de jeunes actrices à poil, fesses à l'air ou en porte-jarretelles ainsi que des petites culottes affriolantes à tout bout de champ, à peu de frais et franchement sans trop se casser sur les scénarios...)


Au-delà de ça, cette vidéo (en italien) signifie beaucoup pour moi: mes premiers émois datent d'une période lointaine où j'étais amoureux raide (!) d'Alison, jeune actrice anglaise qui fût sa doublure au cinéma dans le milieu des seventies et qui ressemblait à la belle Sydne de façon troublante, un peu comme Catherine Alric par rapport à une autre Catherine, Deneuve celle-là... "La malédiction des sosies"... (Demandez donc à Afonso, ce garçon qui ressemble tant à Belmondo. On rate des carrières pour moins que ça...)

Revenons à mon bel amour britannique...

... Qui resta malheureusement platonique.

Mais j'ai tellement souvent rêvé lui infliger la fessée cul nu sur mes genoux qu'aurait mérité tant d'indifférence à mon encontre que je ne vais pas me priver de l'imaginer, en regardant la demoiselle se faire corriger sur ce petit extrait savoureux où vous remarquerez à quel point l'acteur fesseur (sosie moustachu de John Cleese jeune) est enthousiaste pour claquer les rondeurs de sa partenaire...

Sans doublure cette fois...

Enjoy, darling...

PS: Ah, au fait: la "sculacciata", ça veut dire... la fessée !

PPS: L'extrait vient d'un blog espagnol, "el despacho del spanker" que vous irez consulter ici... Le maître des lieux me précise d'ailleurs que dans le film de Roman Polanski
"Quoi ?" dont vous avez l'affiche en illustration ci-dessus, la belle Sydne est également fessée !

Décidément, on en osait des trucs dans ces années-là...

24 mai 2007

Claquée dans la paille...

269 - J'ai parlé récemment de BB, évoquant une fessée terrible (plus moralement que physiquement d'ailleurs) donnée par son père et qu'elle raconte en toute franchise, sans chercher à enjoliver quoi que ce soit, dans ses souvenirs.

Son dernier film en 1973 contient une petite scène de fessée, jeu érotique cette fois, mettant en scène Huster et la belle Brigitte...

Les deux comédiens tout nus dans la paille se lutinent tout au long de la scène (ah, les dialogues...) et le personnage d'Arabelle, une femme mûre (!) de 40 ans jouée par Bardot, (elle qui en a à peine 38 à l'époque du tournage) se voit soudainement claquer les fesses à plusieurs reprises avec entrain par son jeune amant...

Bon, il me faut vous avouer que ce n'est pas - loin s'en faut - le meilleur film de Nina Companeez, mais cette "histoire très bonne et très joyeuse de Colinot Trousse-chemise" (titre bien évocateur pour tout amateur de fessées) offrira au moins aux admirateurs de l'actrice l'occasion de la voir une toute dernière fois au cinéma, dans un rôle malheureusement bien mineur.

Ce sera l'ultime apparition à l'écran de celle qui fût l'incontestable "mythe sexuel français numéro un des années 60". Point final et sortie pour de bon d'une carrière très critiquée quoi qu'elle fasse, parfois à raison... D'autrefois non...

On aurait aimé une fin avec un rôle plus marquant, peut-être dans un film plus "fort", à la hauteur de ce que furent pour elle le Mépris ou la Vérité...

PS: Merci à Laurent du "journal de la fessée" de m'avoir signalé où trouver sur DailyMotion l'extrait illustrant précisément le post qui précède...


Bbfc
envoyé par laurent920

23 mai 2007

Alice fessée en rêve...

268 - Fort joli travail de Rom Deviseg, mélange adroit de dessins et de photos à la façon de "Roger Rabbit" composant une amusante petite BD "photo-roman" autour d'Alice au pays des Merveilles...

On y évoque la fessée avec humour, la Reine de Coeur accédant à la demande du roi son époux, histoire de lui revigorer la tige ("redonner à son royal sceptre sa vigueur d'antan"), pour un châtiment corporel "tendance" administré à la pauvrette par l'entremise d'un terrible robot fesseur...

Ce qui - reconnaissez-le - est quand même nettement plus amusant que de lui "couper la tête" comme dans la version animée (niaiseuse, puritaine et au final profondément ennuyeuse) de ce brave tonton Walt, si éloignée de surcroît de l'écriture sulfureuse et suspecte de l'auteur du roman, ce dérangé de Lewis Caroll, l'homme qui aimait tant les petites filles...

Pour les photographes amateurs en mal de modèles féminins, précisons par ailleurs que la jolie jeune femme (adulte, celle-là, ouf...) "Mademoiselle Isa" qui interprète Alice devant l'objectif avec grâce possède elle-aussi un site exposant son travail...

... Et le reste !

PS: Alice la gourde, je l'avais déjà évoquée il y a quelques mois...

21 mai 2007

Souriez, vous êtes filmés !

267 - Il fallait bien que je vous en recause un peu, de mon ami anglais... Ce brave Andrew dont je vous avais proposé un clip (profitez-en avant qu'une action en justice de sa part ne les fasse disparaître du site DailyMotion, c'est juste un peu illégal) m'a donc offert pour que je parle de son Sound Punishment un libre accès à ses vidéos et ses photos...

Ma foi, j'avoue qu'il y en a de pas mal et que l'accent anglais ainsi cette diction typiquement british me plaisent assez quand il s'agit de ce genre-là. (Car oui, il y a des vidéos en français qui existent mais sont tellement mal "jouées" par les protagonistes qu'elles en deviennent risibles, je vous en parlerai un de ces jours. Le fait que ce soit dans notre langue rend tout vaguement ridicule. Et vice versa, quand on écoute les Beatles par exemple, il vaut mieux ne pas les traduire mot à mot...)

Comme je l'ai dit ailleurs, les modèles sont des gens qui pourraient être vos voisins de palier, physiquement tellement ordinaires que ça accentue le côté réaliste. Bon, attention quand même, c'est parfois surjoué aussi et on n'y croit pas toujours, mais il y a quelques perles bien sympathiques. Bref...

Sound Punishment
vaut le coup d'oeil, le seul souci sur tous ces sites étant ces abonnements reconductibles automatiquement tous les mois, un peu pénible. En général, quelques jours suffisent bien pour faire le tour de la chose et télécharger le contenu qui vous intéresse. Mais il est vrai que c'est assez dur de fidéliser une clientèle dans ce domaine. Il faut renouveler régulièrement les scénarios des vidéos, les photos (forcément toujours un peu pareilles) et surtout être capable de séduire des amateurs blasés qui finissent inéluctablement par avoir l'impression de revoir sans cesse les mêmes scènes... avec les mêmes acteurs.

Oh, je ne blâme pas Andrew de profiter de la situation, comme je l'ai dit je ferais la même chose à sa place en m'attribuant le plaisant rôle de fesseur en chef...

J'ai bien aimé - plus encore que la fessée proprement dite - ses interviews quand il reçoit une fille qui veut "travailler" pour le site...

Ça ressemble à un (assez long) entretien d'embauche où les filles donnent une sorte de CV en se racontant au travers de leur vécu, de leurs expériences personnelles, et ça se termine de toute façon systématiquement par un test grandeur nature cul nu sur les genoux d'Andy pour la demoiselle ou la dame, mais les filles révèlent parfois à cette occasion des choses plus excitantes encore dans leurs mots avec des petits rires gênés... qu'une fois les fesses à l'air !

Encore une fois, il faut pour ça parler (ou au moins entendre) la langue de ce cher William Shakespeare...